Génération sur génération tous lesquels appartenaient au monde Concurrence, étaient nés sous le stigmate de cette civilisation dévorante. Celle-ci qui aménageait leurs vies d'un seul objectif : être gagnants et si bien chacun y parmi s'en pourrait faire débrouiller ; à poursuivre tel but par les moyens pour lui choisit, tous avaient une même ligne d'arrivée, celle-là qui était juste la valeur des biens, dont chacun qu'y arrivât, fût possesseur.
Dans
ce monde-là, Jean-Pierre-Louis-Philippe des Sables-Longues et de la
Pierre-Rochefort partait en course avec un incontestable avantage,
tradition de la sage familiale dont de sa succession de gagnants, il
était successeur. Famille qui lui avait déjà en étant un
nourrisson, il s'est fait nourrir par une nourrice aux plus nourrissants seins jamais conçus. Après sa jeunesse, il fut dopé, durant, de tous
les trucs imaginables pour faire de lui le plus gros accapareur ; quelque
chose qu'il n'a pas fait d'autre d’adulte, en plus de ne pas
dépenser ce qui n'en fût en vue d'y tirer profit.
Cet homme d'autant triste figure (probablement de la consommation excessive du lait). Comme de tapageurs noms et prénoms a vécu une vieillesse, perturbé seulement de penser que quelqu’un lui puisse dépasser, puis une nouvelle course, faisant périmer l'épitaphe de son tombeau, lequel dit : ici gît l'homme le plus riche du cimetière… Il ne doit point par là avoir peur, la terre que l'a avalée va finir pour avaler aussi son monde, et, je ne sais pas, malheureusement, à tous les restants avec.
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