samedi 14 septembre 2013

DE SANGSUE À REQUIN

    Génération sur génération tous lesquels appartenaient au monde Concurrence, étaient nés sous le stigmate de cette civilisation dévorante, celle-ci qui aménageait leurs vies d'un seul objectif : être gagnants, et, si bien chaque y parmi s'en pourrait faire débrouiller, à poursuivre tel but par les moyens pour lui choisis, tous avaient une même ligne d'arrivée, celle-là qui n'était que la valeur des biens, dont chacun qu'y arrivât, fût possesseur.
 
   
    Dans ce monde-là Jean-Pierre-Louis-Philippe des Sables-Longues et de la Pierre-Rochefort partait en course avec une incontestable avantage, tradition de la sage familial dont de sa succession de gagnants, il était successeur. Famille qui lui avait déjà en étant un nourrisson, il s'est fait nourrir par une nourrice aux plus nourrissants seins jamais conçus. Après, sa jeunesse il fut dopé durant, de tous les trucs imaginables à faire de lui le plus gros accapareur ; quelque chose qu'il n'a pas fait d'autre d’adulte en plus de ne pas dépenser que n'en fût en vue d'y tirer profit.
 
   
    Cet homme d'autant triste figure (probablement de la consommation excessive du lait) comme de tapageurs noms et prénoms a vécu une vieillesse, perturbé de seulement penser que quelqu’un lui puisse dépasser, depuis une nouvelle course, faisant périmer l'épitaphe de son tombeau, lequel dit : ici gît l'homme le plus riche du cimetière… il ne doit point dés là avoir peur, la terre que l'a avalée, va finir pour avaler aussi son monde, et, je ne sais pas, malheureusement, à tous les restantes avec.  

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