jeudi 31 janvier 2013

L’IMBÉCILLITÉ N'EST PAS LA FOLIE

    La France a été condamnée pour violation de la liberté de pensée, de conscience et de religion. Paris devra verser 3,6 millions d'euros à la secte du Mandarom, un peu plus de 387 000 euros à l'Église évangélique missionnaire et près de 37 000 euros à l'Association des chevaliers du Lotus d'or.

   
Tout ça, ça marche, mais pourquoi les contribuables, parmi les pays européens, qui payent de leurs impôts, le soutien de cette étrange cour, laquelle en outre n'a rien à voir avec l'Union européenne, mais avec le Conseil de l'Europe. Revenant au premier : pourquoi donc les payants, c'est-à-dire les travailleurs, ne pouvons-nous disposer des pilules, ou quoi qu'il en soit, qui ont à leur disposition ces messieurs, auxquels personne ne connaît qui ne soit pas chez-eux quand on veut leur demander de l'argent, pour faire la fête, nous aussi, nous aimons la faire et non entraînerons coût
d'autre que sur nous, ni ferions-nous payer ni prostituées, ni gigolos.
     
    Il ne s'agit pas d'être trop heureux nous, mais un peu quand même !

mardi 29 janvier 2013

MARION, ROUGE, ÉCARLATE, ET MAUVE

    Marion Écarlate avait été une fillette qui avait eu, à cet âge-là quand on l’appelait Chaperon Rouge, une aïeule à qui si bien la petite ne l'avait donné à manger au loup, il était tout comme la fillette, qui était assez d'en aller par la forêt, jour le jour, habillée d'un ridicule manteau rouge, toute chaperonnée, un ridicule panier à la main, couver d'une nappe à carrés blancs et rouges, tandis que ses copines faisaient des choses propres de leur âge.
 
    
     Qui ne se souvient du village de la glorieuse soiré là, dont le peuple était en fête à laquelle s'est présentée Marion, et où elle avait pris le surnom d'Écarlate, avec des bretelles desquelles penchait quelque chose comme un peu plus qu'une petite jupe de cette couleur, tous les mâles du lieu et des alentours s’étaient métamorphosés en loups. À cette époque-là la vie avait fait mère Écarlate.
 
   
    Après avoir être mère, je ne l'ai vu plus, jusqu'à il n'y a beaucoup, étant moi à faire visite quelqu'un à la Salpêtrière m'aborde une belle femme, pas pour mûre de mauvais voir, habillée en mauve, sa poitrine bien harnachée, comme aussi, je suppose, sa taille, ses jambes au naturel (comme que quelque chose toujours y reste à sa place) qui, à ma surprise, m'en souriant me croise trois bises : elle était Marion… Mauve. Moi, sans enlever les yeux de la creuse de sa poitrine, j'écoute quelque chose comme : je viens tout juste de devenir aïeule et quelques autres. 
 
    
    Quand je pars, je me dis moi-même : non à toi ne te mange pas le loup.   

dimanche 27 janvier 2013

SOLITAIRE ET PERDU

    Un homme marchait faisant chemin vers aucune part, chemin dont à chaque pas, il pouvait choisir tous les destins ; pourtant, cet homme heureux d'avoir trouvé la gloire en se perdant dans le monde, du monde, d'où se peut déduire ardent amant de la solitude, un jour, à une heure qu'il ne préciserait puisqu'il ne portait ni montre ni chose pareille, en prolongeant ce chemin-là d'autres quatre-vingt-deux centimètres environ, il se fait heurter avec quelqu'une, qui, comme qu'elle se baisait d'un trottoir imaginaire, se penche du cou d’auparavant heureux, pour peut-être se dissimuler la belle, qui le sait : si de tomber par terre ou décoller vers les cieux.
 

    Au solitaire perdu…  Le pauvre ! Le dilemme l’encline à mettre le cap, mise à un joug à deux équipés d'un seul harnais, à un destin fixé.
 

    Apis faisant du bœuf, porte-t-il la charge tout seul, beuglant Aphrodite, partageant l'effort ; elle faisait sans arrêt sa toilette sur ses propres affaires que la beuglante traînait. Un soir, à l'heure de faire repos (maintenant l'horloge était-elle) puis de faire le repas pour entrer en vigueur le beau faire d'Apis, il la garde, et de petite matinée, son corps reposé, s'emballe comme un artiodactyle sauvage effrayé vers aucune part : vers la gloire !  

vendredi 25 janvier 2013

L'HOMME RUDE ET LE DÉLICAT

    Rondel cultivait le plus beau jardin des plus superbes fleurs peuplées, que personne ne puisse imaginer. Rondel se levait à l'aube, quand les gouttes abandonnées des rosées fleuraient dans les fleurs, y persistant, telles que diamants, qui s’évanouissaient devant la beauté de leurs porteuses sans auparavant laisser quelques gouttes de mouiller les mains soigneuses du jardinier, qui tandis que caressaient les fleurs rafraîchissait ses joues.
     

    Quand la douceur de la matinée envahissait le tout, le tout s'envahissait d'oiseaux, ce qui ne faisait rien faire Rondel que sentir flore et faune, et voir  les fleurs et sur elles les dessins façonnés par abeilles et papillons, tout cela qui au long de la journée s'accentuait jusqu'à arrivant la tombée du jour, dont l’empire du parfum des fleurs régnait sur tout, énonçant le summum de telle puisant Altesse des stridents chanter des grillons. 
 

    La nuit tombe, la paix se fait noctambule et une chouette communique qu'il y a vie… Ah ! J’oubliais, pour faire Rondel, le petit déjeuner, le déjeuner et même le dîner, il y allait chez son voisin Marcel, homme rude qui cultivait les champs, le jardin potager et engraissait des animaux. 

mercredi 23 janvier 2013

ENTRE ICI ET LÀ

    Le temps l'avait un jour laissé à un homme, tenant sa tête à ses mains ; il se tenait immobile dans cette pose, dont il ne voyait qu'un corps le soutenir, sans autre chose à savoir faire que demander aux passants, qu'il sentait marcher par là :


    S'il vous plaît (il était très poli) seriez-vous si gentil de me dire où est-ce que je suis ? ou si est-ce que j'existe quand même ? Le monde qui près de lui passait, soit parce que ce jour-là n'eût très bavard, soit parce que les qui en passaient sentissent dégoût de l’estampe de lui, que le temps avait gravée sur le néant pour l'imprimer sur la vie pour illustrer la mort, la question est qu'il ne trouve réponse aucune jusqu'à quelqu'un qui passe par là lui dit :


    Tu es ici mon pote, et là aussi, tu es dans le trépas ; ne te soucie pas toi, bientôt tout ce qui a été ne sera rien. 

lundi 21 janvier 2013

ELLE TOMBE ... IL PLEUT

    La pluie diffuse les images leurs faisant perdre la consistance qu'aux corps, les d'elles, par exemple, auxquels modèle le soleil, qui les donne dissolues paranoïaques formes les lumières artificielles.
 
   
    La pluie offre quelque sorte de mystérieux érotisme, aux figures féminines marchant y parmi, leur annulant de l'odeur à femelle dans la distance l'en prononçant à la proximité, d'elles, de l'humidité.

  
    La pluie atténue les cris de femelle en rut, si stridents, quelques fois que mal sonnants quelques autres ; les enveloppant d'une opaque cristalline musique, rythmée par rafales, par les rafales du vent.
 
    
     La pluie, femelle elle, humidifie les lèvres sèches de qui n'a d'autres que les siens ; rempli les narines de toutes les odeurs abandonnées, tombés par terre, pour elle les faire monter ; elle t'embrasse, invite à chercher l'abri.

dimanche 20 janvier 2013

MAÇONS

   Le cœur ? … dehors !
   Le foie ? … par ailleurs.
  Les reins ? Je ne sais pas, non plus, par où ils sont ; mais je veux laisser de parler de mes intériorités !
  J'ai laissé le plus bel équipage, celui-là de l'amitié, sur le bras de Morphée, pour se repousser de son persistant ouvrage agité à couvert.
  De la limpide pluie qui accompagne le mien, au mien, me repousser moi aussi.
   De la bataille dialectique que les maçons du rien ont, sans rien pouvoir faire à l'ouvrage préconçu des architectes du caduc bâtiment d'une société perdue.
  

dimanche 13 janvier 2013

LE PÈRE ET LE CURÉ

    L'un de ces jours-ci, faisant moi moquerie avec un ami, dans un bar évidemment, de la comédie que quelques personnages, tels que revenants du Moyen Âge, qu'au ne pas être capables de l'en faire, impliquent, ces pauvres d'esprit, leurs gamins, en faisant honteusement d'eux répugnants petits hooligans, quand, soudain ! Le visage de mon bon compagnon était devenu sombre, là où les rides, façonnées au long de son long âge, sillonnaient, sombrant la tristesse qui l'avait envahi. Moi, en prenant le verre j'ai fait un toast pour faire dissimuler cela qui l'en était venu à sa tête ; donc, après d'un coup dans le derrière, une fois son visage s'est relaxé, il commence à parler : 
 
    
    J'ai été le dernier y parmi cinq frères et quatre sœurs, avec ceux-ci aussi qu'avec mes parents, dont je n'avais d'autre rapprochement à eux que de m'en éloigner pour esquiver leurs coups ; peut-être, en le concernant aux de mes frères, pour s'indemniser, auxquels mon père les gratifiait autant qu'à moi. Le grand patron de la maison, qui, depuis qu'il y arrivait, commençait par agresser ma mère. Il était très poli pour l'en faire à la suite avec tout le poulailler.
 
 
    Mon père m'a fait faire un homme, selon lui, me mettant à travailler tenant moi huit ans par tout enseignement, il m'a dit : aux hommes aux longs cheveux et aux pédés, il faudrait les couper la tête, en tant qu'aux femmes, celles-là qui avaient des rapports sexuels sans être épousées, putes toutes (à cette époque-là, il ne se parlait de lesbiennes, ni non plus d’avorter, je ne sais pas si parce que cela était quelque chose des gens riches, ou bien puisque c'était inimaginable). Ce type, mon père, qui devant le curé de la paroisse, hochait la tête, les yeux de mouton égorgé, lesquels tranchaient avec les libidineux de daurade (si bien que fraîche) du curé, auquel mon père me donnait à faire du catéchisme, dont tous les gamins nous étions soumis au pelotage de ses dégoûtantes graisseuses mains ; à un autre ami qui était par là, je lui dis : tout un intellectuel !!!

vendredi 11 janvier 2013

UN DIEU PLEURNICHEUR ET UN AUTRE PISSEUR

    Selon Laszlo Passuth, quelquefois « le dieu de la pluie a pleuré sur le Mexique » ce qui veut dire, que là, traversant la mare aux harengs, au moins il y avait parmi les dieux, un qui pour ne pas applaudir, pleurait, les actes des criminels du peuple, ceux-là qui ont fait bons, aux, pas pour cela excusables, un peu moins criminels (quelque chose, en autre, pas compliqué puisque tout semble le degré en telle qualité, était déjà insurpassable) envahisseurs, porteurs avec eux, d'un dieu d'importation à eux-mêmes, c'est-à-dire : à nos ancêtres imposé, du même qu'à nous l'intentant de façon irréfutable, comme correspond à n'importe quel dogme, dont personne ne peut l'en soumettre à réflexion aucune, comme il faut.
     
     
    Eh bien ! Où je voulais arriver ; maintenant étant moi en la Galice, je peux assurer que ce dieu-là (l'impitoyable, celui-là d’importation à nous, bien sûr beaucoup plus impoli que le pieux pleurnicheur du Mexique) par ici il doit de pisser tel qu'un buveur impénitent de bière au se réveiller au lendemain de la vielle de ce qu'il entend par fête, puisque dans le temps d'un en aller et y venir, traversant la rue, là où il y a une boulangerie, pour acheter une baguette, je suis rentré d'où j'ai sorti, trempé comme une poule qui vient de faire un bouillon et la baguette, la pauvre, transformée en un baba, qui bien arrosée d'un généreux sirop au rhum, comme correspondrait à un buveur, aussi impénitent lui, du caribéen, elle l'en a été des pisses de dieu, bien entendu.

jeudi 10 janvier 2013

NOIRE OMBRE

    Par là-haut est sorti, d'où personne a su dire (pas à cause de mystère d'aucun dieu sinon de notre ignorance) un vent, qui a fait inciter les nuages noirs à se balader, ombres qui voilent le ciel, en empêchant l'espace extérieur de timidement illuminer la nuit de la Terre, d'étincelants astres qui dès là font des clins d’œil à tout lequel ici-bas veut être complice de leur joie.
 
    
    Sur terre, il ne reste d'autres ombres que les ombres que les nuages font ; l'empire de l'obscur est en toute sa grandeur. Parmi les gens, il y en a qui brûlent des chandelles sur leurs yeux pour brûler leurs yeux sur les pages de la liberté, pour faire conduire le monde à la recherche du soleil, l'astre proche qui ne va pas vaciller, à fondre les ombres pour pouvoir nous voir les nôtres.  

mardi 8 janvier 2013

RÊVER LA RÉALITÉ

    Quelle personne, qui ne soit chat, par exemple, ne partage sa vie entre les douces rêves et l'amère réalité ; les uns plusieurs autant que les dieux, les nôtres ; l'autre, un impitoyable, tellement le dieu, un tout-puissant, despotique, inconnu à nous, importé d'ailleurs.
 
    
    Pourquoi donc ne pas faire des rêves la réalité et considérer celle-ci comme un mauvais rêve, dont on peut se réveiller avec plaisir.
 
     
    Les rêves ne laissent pas d'être quelque chose d'exclusive de leur tenant, lesquels ne font ni du mal ni du bien à autrui ; tandis que la réalité il faut la partager avec tous, inclus, cependant, toute sorte de redresseurs de torts, des torts des autres au profit des siens.
     
      
    Il faut, après avoir fait l'élection ici, être éveillé dans le monde des rêves. C'est la seule recette pour ne pas se dormir dans le monde de l'esclavage.

samedi 5 janvier 2013

DRAME OU COMÉDIE?

    De l'amour, en tant que subordonné indispensable, pour qu'il le soit, au partenariat, on ne peut attendre de lui que des drames dépendant de son intensité, active ou passive, de l'un ou de l'autre composant de ce partenariat, ou pourquoi pas de tous les deux. Tout pour mourir là où il y a aussi autant vécu que né (toutes les trois étapes bien sûr cassant les pieds).
 
     
    Alors que, tandis qu'il survivra, une fois établie la mise en scène, si l'un ou l'autre des impliqués, ou pourquoi pas tous les deux, en plus de vouloir chacun, être acteur de plus haut rang, montent là les spectateurs jouer rôle de secondaires, le drame deviendra mélodrame quelquefois, quelquefois comédie, d'où il se peut déduire, que l'amour ne soit que pour les amants au « théâtre ».   

vendredi 4 janvier 2013

L'HISTOIRE DE DIDIER POULAIN

    Mon ami, et de tant d'autres, l'ineffable Didier Poulain, par sérieux, prestigieux chômeur, d'autant longue durée que ce que le temps de sa vie, acte au travail, l'en a permis, promenait-il son inactivité par les rues du quartier Saint-Jean à Bordeaux, dévouait-il, puis de frénétique activé dédié aux causeries, des brefs, mais constants espaces qu'il prenait de repos, avec résignation, pour s'accrocher aux comptoirs des bars qui par là fleurissent.
 
   
    Didier, qui dédia sont temps, et plus qu'il eût, à ne rien faire, ne lui restant que le juste à dormir, jusqu'à le bouillir de sa tête, cause des commentaires tirés des médias, qui les uns les autres remuaient, ce qui lui a fait se décider de ne pas être moins que les intellos desquels celles-là s'alimentent. Donc, il s'en va à l'autre rive, quartier Bastide, balader son temps, sans rancune, mais comme s'il l'en fût ; quoiqu'en étant savant lui de que dans celui-ci, il y avait de bien meilleurs bars assortis que de celui-là.
 
   
    Pour le camarade Poulain faire du parallélisme aux engraissés (ceux-là qui donnent lustre au papier couché, lui, qui de sa sèche figure personne serait capable faire sortir, par toute pression qu'elle soit, la moindre goutte de matière graisse, à faire une petite tache sur le papier recyclé des arrêts de la mairie du quartier) demande-t-il d'être accueilli, sinon à pension complète à demi-pension, à une fille qu'il a connue par là. La faute de réponse à sa légitime demande a soumis Didier à tel état de désespoir qu'il a décidé de se suicider.
    Ses amis ont tous tenu à bien de faire une quête pour faire face à l'amende qui la mairie l'en a mis pour arracher la branche d'un arbre à l'intention… les pauvres ne sommes rien !   

jeudi 3 janvier 2013

CORDONNIER AUX TIGRES

    D'un homme qui a fait de sa vie « métier de cordonnier » s'en donnant, en corps et office tout entier, au pied des tigres enragés, furieux ; que personne, qui ait toute sa tête, mettra en doute, que si bien il n'en est maître de l'une fort sensée, de cela que l'on ne le peut pas en douter, c'est qu'il ait, ou si bien un esprit courageux, ou bien sûr, qu'il ne soit pas absolument intéressé à autre fortune qui ne soit cela de ne rien faire.  
 
    
    Étant la fortune de tenir pour ne rien lâcher, maladie qu'en fièvre montante fait devenir le malade, par bizarre inverse contagion, obsédé d'une convoitise cramponnant des biens des autres, ce tendre à, qu'en n'arrivant pas ces souffrants-là depuis d'avoir passé leurs longs parcours par la vie, culture autre qui ne soit pas cela du dualisme : achat-vente.
 
 
  
    La hardiesse, fruit de l'ignorance, dont la fleur était capricieuse, a mené un riche marchant chez du cordonnier de ce conte, pour qu'il l'en fasse, à LUI, des chaussures de la peau d'un tigre. Le cordonnier, impassible, d'un geste de sa main, la montre au malade l'entrée de son atelier, au temps qu'il le dit : entrez-vous et choisissez vous-même la peau. Les clients du cordonnier, lesquels n'ont jamais voulu des services propres à son métier, après avoir bien mangé, ont reproché au maître cordonnier la rance qualité du mets par lui offert.

mercredi 2 janvier 2013

ENTRE LE SILENCE ET LES CRIS

     
    Le silence est tellement un terrain en friche, sur lequel, par plume une charrue… susurrant, on peut écrire un conte qui le réveille, pour semer dans ses terres revivifiées n'importe quoi, l'en engraisser du temps vécu, l’écrivain-cultivateur ; pour que les fruits, fils et mères des fleurs, y parmi auxquelles les acides cris n'en ont pas fané, cela qui les a permis de devenir mères des fils, lesquels une fois ramassés, de leurs jus l'arroser.
 

mardi 1 janvier 2013

PERSONNE FAIT RIEN SANS RIEN PRETÉNDRE

     
     Ni j'ai à moi, ni pour mon espace non plus, besoin d'espace, pour que je sois ; ni d'aucune façon, cela que je ne tolérerai jamais, il n'est qu'à mon inexistante espace, quelque confus manichéisme lui donne forme, pour lui forcer à un espace ; enjeu qui ne sera qu'à l'en mettre à, ou envahi d'autres espaces, ceci pris de, ou soumis à, n'importe quel dogme.