La bonne mère, faite bonne parfois, des fils de deux de ses fils ; cela qu'elle n'en voulait pas être du nouvel hôte à sang chaud gracieusement introduit chez elle. Un matin, en sortant, la mère, contrariée, promenait la minifauve. Elle l'invite gentiment, uriner, à chier, et même cracher s'il l'en veut, il regarde sa maîtresse de ses yeux impassibles de chouette, agissant comme si la chose se fût avec lui ; peut-être s'en disant le petit beau joujou : quand arrivera-t-on chez nous ? J'ai des besoins impérieux d'uriner et de chier ! (Cracher, il avait déjà craché). Ainsi, la maîtresse décidée de ne pas être bonne de son chien, elle entre au-dedans d'une cafétéria comme d'habitude pour partager un croissant avec lui. On entre dans une clinique vétérinaire. En sortant de celle-là, le chien avec une collerette, mon amie, je suppose, avec le même cynique sourire que quand elle m'a dit, regardant le nain, qui est tout tranquille là-bas : celui-ci, il ne va pas laisser plus de traces.
Depuis quelques jours je retrouve mon amie, qui me raconte, un tant apparemment, excusez-moi : le petit, que c'est comme elle appelle à son dernier, il est le seul de tous les trois qui gardait sa place d'enfant en permanence, s'est décidé de s'émanciper ; j'ignore comment nous allons faire tous les deux seuls ? Alors, elle part avec un sourire que j'ignore ce que me fait souvenir.
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