samedi 7 juillet 2012

UN DIEU DE LABORATOIRE

    La pauvre Europe, qui a été dès toujours si bien assortie, autant de déesses : Dhghom, Dana, Zamyna, Taranis, comme de dieux : Lug, Odin, Zeus, Dyeus, entre autres ; auxquels les peuples, qui habitaient la Continente, ont marginé, pour offrir honneurs, inexplicablement, à des barbares qui n'ont rien à voir avec nos cultures. Ces barbares impitoyables, lesquels une fois débarqués sur la Belle (Europe, pas seulement sont belles les femmes), ils n'eurent rien de plus pressé, que de faire de la moitié de la population, une troupe d’avouées reproductrices, auxquelles ils ont écarté, immédiatement, de tout autre droit et condition ; ce qui a forgé en elles, un caractère vengeur (c'est tout qu'elles ont pu faire) sur toute l'autre moitié d'imbéciles asservis lâches culs, qui se croyaient importants par le fait d'être mâles, tel que les nouveaux dieux, chacun d'entre ceux-ci absolu et unique, l'en étaient. Cela que les belles poursuivent à faire, bien sûr inconsciemment, sur les athées, sur ceux-là qui s'en laissent faire bien entendu, d'aujourd'hui.

     Ces déesses et ces dieux, les nôtres, qui à cause des dégâts, qu’ont fait, que font, et que ne font plus parce qu'ils ne peuvent pas, les dieux barbares, commençaient à voir certaines lueurs d'espoir, quand dans le CERN « la grande cathédrale de la science » on vient de faire d'une particule imperceptible, la mère créatrice de tout.

    Pauvres les Nôtres, ils n'encourent que d'un en autre malheur. Malgré cela, ils ne doivent pas désespérer, en tout cas se conformer du proverbe « malheur des uns fait le bonheur des autres » ils n'avaient déjà rien à faire dans ce champ, les impitoyables n'ont laissé que terre brûlée.   

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire