N’en
ayant rien à verser de la dame-jeanne de ma pensée, l’envie de
raconter me fait le faire sur ce que peut le passer à n’importe qui, donc, pour y faire, je me fais sujet moi-même.
La
vie « ma vie » s’adapte cahin-caha à son parcours, large, ce qu’il soit.
Long, ce qu’elle y veut.
La
vie n’est que chemin…
Sinueux !!!
Cette
pensée, qui ni me mène à « elle » ni m’éloigne.
Qui
me fait perdre…
Dans
ce labyrinthe !!!
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