Constantin, pris de la fièvre unificatrice (la mondialisation n'est aucunement la création moderne que l'on peut penser) a mis un dieu, étrangère celui-ci, au-dessus de tous qu'il y avait de souche pour « les soigner » de la fièvre concurrentielle que les forçait à être le dieu suprême.
Eh voilà donc Christ qui, en représentant de l'imaginaire, s'est fait faire commandant en chef des déesses et des dieux de toujours, lesquels furent relégués à un rôle secondaire dans la sainteté.
Pourtant, si tout cela a marché pour le conjoint jusqu'à présent. On remarquera que dans chaque paroisse, les paroissiens
ont fait, soit de leur sainte, soit de leur saint « le vrai »
laissant les autres de son gré, y compris le dieu suprême et même
son lieutenant.
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