mercredi 23 novembre 2016

IMPAIR, PAIR: LE COMPTE DE JEAN PIERRE PAUL DOS SANTOS

    Depuis que Jean-Pierre Paul Dos Santos a touché sa retraite, au fur et à mesure qu'autour lui s'estompe l'ombre que le travail a façonné durant le temps sa vie dont celui-là l'a esclavagé, ce qui a permis de passer la lumière, laquelle va petit à petit l'ouvrant la porte à la réflexion.
 

    De là, la lumière que sort fort, ce qu'aux yeux non habitués à elle, ses soudains rayons les éblouissent, ce qui évidemment les empêche de voir, tel que l'ombre les a faits pendant toute la vie presque, de Dos Santos aux siens. Par contre, la lumière, sinon à court terme, à long terme les permettra s'ouvrir.
 

   
Ce qui l'arrive un jour montant, en automate comme d'habitude, les escaliers de la maison dont il a vécu toute sa vie, dont même, il y est né, donc il pense : quand j'arrive chez-moi je ferai pair, maintenant en étant proche la fin de ma vie, bientôt en descendant, je ferai impair pour toujours.

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