vendredi 18 novembre 2016

LA JOIE Y VIENT ET S'EN VA ... SI Y VIENT

    La joie atterrisse chez nous, gracieusement tel qu'elle fût un léger aéroplane aux fragiles os voilés en soie, pour décoller si bruyamment qu'un lourd avion/charge.
 

   
Nous, Icares prisonniers des nuages depuis où nos yeux n'apprécient point ce qui se passe sur Terre, sommes là-haut à l'attente de l'arrivée et le départ, plutôt la voir passer, de la joie.
 

   
Là-bas la désirée pousse, après que l'on a engraissé la terre, l'y semer… attendre !, ou attendre pourquoi pas, en laissant la Terre en paix, qu'elle se conduit à son aise.

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