Séraphin était un homme ou quelque chose comme ça, imperceptible
autant sous l'empire de sa femme dont il habitait, comme hors de
celui-ci. La seule reconnaissance à Séraphin était l'assiette de
plus que l'impératrice, à laquelle il était soumis, mettait sur la
table plutôt pour habitude que pour qu'il existât. Telle était
l'existence de Séraphin jusqu'à un jour le hasard l'a conduit chez un
médecin.
Le toubib, qui n'a senti non plus Séraphin, pour justifier ses honoraires, a proposé son patient de boire du vin rouge pour se faire optimiser avec, la bonne marche de son cœur ; après cela, Séraphin s'est proposé lui-même tout seul, d'être lui le porteur du cœur en le plus optimisé état de fonctionnement que jamais personne ait eu.
Depuis ce jour-là tout a changé dans l'empire conjugal, dont si bien Séraphin avait fait une habitude ce de fortifier son cœur, qui chaque fois moins impératrice avait dû prendre celle-là de faire encadrer l’assiette de l'ancien ignoré d'un verre et une bouteille de vin rouge. Le cœur de Séraphin prît de la vigueur, mais personne n'en doute, qu'à cause, ce soit ou non douteux, le cœur de l’impératrice était en train de donner les derniers sursauts.
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