Les rats ne s'efforcent trop, ils ont l'habitude, à faire semblant
d'avoir de la peine, cette fois à cause du décès du chat, tandis
qu'ils mangent de l'assiette qui pour lui fut servie.
Le silence était gratté par des fines ongles des muridés, qui
autour l'assiette le lui rythmaient de leur presque inaudible
grignoter. En silence, elle aussi, la peste, qui l'a tué, est parti
à recherche de nouvelles victimes.
Par là, en regardant les funérailles, un chien, qui auparavant
avait été le poursuivant du félin, verse une larme de douleur ... à
la vie ! et une autre de peine pour la mort de son partenaire.
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