lundi 4 août 2014

DÉPLORABLES TEMPS POUR L'ÉMANCIPATION

   Il ne fait pas trop de temps, je me souviens plutôt que pour être vieux, pour la proximité, l'aspiration, parmi d'autres, des jeunes gens, le plus apprécié était l’indépendance des siens par moyen de l'émancipation, même que parfois celle-ci fût dépendante de ceux-là dont on voulait se faire indépendant.
 
   
    La chose était si imprégnée dans la jeunesse de l'époque, que lesquels attendaient de naître, de se presser pour l'en faire, l'affaire a fait que les prématurés de sept moins faisaient la règle, et, jusqu'aux tardifs qu'en font huit, la vitesse atteinte par ce monde-là pour atteint l’indépendance fut griffée de l'époque.
 
   
    Pourtant, dans les temps que coulent, j'observe, la jeunesse ne veut rien savoir de l’indépendance, ni d'eux, ni des événements historiques, soit que, peut-être, quelques indiscrets en tenant l'oreille prête, les regarde du coin de l’œil avec un sourire sournois. Ce négationnisme à la liberté personnelle, qui est imprégné, lui aussi, aux nés actuels, à cause duquel s'écoute de plus en plus, chez beaucoup de futures heureuses mères, qui laissent d'être toutes les heureuses qu'elles voudraient, due à la désespérée attendre de que leurs futurs sortent à la lumière, auxquels il faut, les plus forcés à les faire y sortir.
   Si la chose suit comme ça, il ferait faire venir à les déloger les CRS.

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