Il ne fait pas trop de
temps, je me souviens plutôt que pour être vieux, pour la proximité,
l'aspiration, parmi d'autres, des jeunes gens, le plus apprécié
était l’indépendance des siens par moyen de l'émancipation, même
que parfois celle-ci fût dépendante de ceux-là dont on voulait se
faire indépendant.
La chose était si
imprégnée dans la jeunesse de l'époque, que lesquels attendaient de naître, de se presser pour l'en faire, l'affaire a fait que les
prématurés de sept moins faisaient la règle, et, jusqu'aux tardifs
qu'en font huit, la vitesse atteinte par ce monde-là pour
atteint l’indépendance fut griffée de l'époque.
Pourtant, dans les
temps que coulent, j'observe, la jeunesse ne veut rien savoir de
l’indépendance, ni d'eux, ni des événements historiques, soit que,
peut-être, quelques indiscrets en tenant l'oreille prête, les regarde du
coin de l’œil avec un sourire sournois. Ce négationnisme à la
liberté personnelle, qui est imprégné, lui aussi, aux nés actuels, à cause duquel s'écoute de plus en plus, chez beaucoup de futures heureuses
mères, qui laissent d'être toutes les heureuses qu'elles voudraient, due à la désespérée attendre de que leurs futurs sortent à
la lumière, auxquels il faut, les plus forcés à les faire y sortir.
Si la chose suit comme ça, il ferait faire venir à les déloger les CRS.
Si la chose suit comme ça, il ferait faire venir à les déloger les CRS.
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