Le
décès du maître, qui avait fait affliger son chien, de même que
la faute de son soutien, avait fait affliger à sa maîtresse, mariée
en secondes noces avec.
Pourtant,
la femme du décédé a choisi de se voiler le visage pour dissimuler
sa joie. Tout ce qui était de son mari est maintenant à elle toute
seule. Ses fils putatifs se frottaient les mains, pensant au pognon
qu'ils toucheraient. Ne leur reste pas que l'envie de toucher. Les
trucs de la finance sont indescriptibles, surtout quand qui les manie
est l'amant de l'héritière en chef. La veuve avait laissé les
orphelins de père, les orphelins d’hérédité, et même, les
orphelins de mère.
La
maîtresse, épouse devenue en étant en forme encore, elle n'a pas
eu problème de trouver à qui vendre son amour. C'est le chien qui a
tiré quelque profit.
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