Les dieux de la misère et, si je les nomme dieux, c’est parce qu'ils s'en croient (le rang de dieu n'a jamais été si bas) n'en trouvant d'animaux qu'eussent de la classe que se prêtassent à eux. S'incarnant pour mettre aux abois au renard. Ils s'en sont des éminences servies, parmi leurs thuriféraires, des poules.

Alors, s'en voyant le renard traqué par quelques bipèdes plumés, il théâtralise quelques grimaces d'être effrayé. Ce qui, en regardant les autres poules, encouragées, auxquelles se joint un coq, qui n'a pas voulu être moins, pour tous prendre part à la fête, laquelle n'a fait que remplir le garde-manger de l’audacieux goupil.
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