vendredi 31 mai 2019

D'UN SARCOPHAGE À UN AUTRE

    Le temps est venu dont les jours se font longs, de plus en plus longs ; d’une lumière insolente provoquée par le Soleil qui se fait montrer au-dessus, dans la verticale.
 

   
Moi, à son dessous, ça me fait sentir comme dans un sombre sarcophage. Immobile y dans, sans pouvoir agir, sans être capable de penser, jusqu’à que la soirée, prélude de la nuit, me réveille.
 

  
Une fois que Nyx a voilé le jour, en me dégourdissant du tout, je m’en vais, de moi-même, me mettre dans n’importe quel bar… Ah les bars ! Sarcophages de la joie.

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