Les fillettes, guillerettes, marchent, bondissant leurs mains
ouvertes, portant leurs cœurs pour à l'amour les offrir.
Ne
vous moquez jamais d'elles « innocentes », les pauvres croient voir en
cygnes les canards étourdis. Ne faites pas qu'elles troquent le goût pour
l'amour par le dégoût de la vie.
Profitez, en tout cas, à poser vos lèvres sèches, sur leurs joues
fraîches, pour les rafraîchir… pour rafraîchir vos esprits…
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