Le malade… le pauvre! est tout seul, allongé sur le lit: triste,
émacié ... pâle tellement un moribond.
Soudainement, la porte de la chambre, dont le soufrant gîte, s'ouvre ; elle entre en scène et sur le champ s’assied au côté de celui-là en faisant la perpendiculaire. Elle caresse de sa délicate main, délicatement, le cou du malade. Elle défait la perpendicularité. Il ne dit rien, ne peut pas. De plus, elle lâche soigneusement un pet. Quand leurs lèvres laissent espace entre eux pour respirer, il dit : ainsi, réchauffe-moi une autre fois. Alors, les joues du souffrant prennent graduellement de la couleur.
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