Je n'ai jamais connu personne, même fermement croyante en Dieu, qu'elle
veuille, de bon gré, s'en aller chez lui.
Pourtant j'ai ouï dire de quelques-uns, qu'ils y en sont prêts, pourvu d'être graciés, chacun à soi, de quelques esclaves sexuels, ce que me fait comprendre qu'y parmi ces derniers les femmes s'efforcent en vieillir, à mourir, sinon pour jouir du sexe, pour s'en moquer des hommes.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire