Pauvre Europe ! dont ces personnes sont soumises à tel ou à tel rance dieu, mâle, impitoyable, amant de l'adoration à soi, de cela qu'il ne délectait jusqu’à son arrivée chez nous que par des forniqueurs de chèvres…
ni dieu, ni roi, ni mondialisation; la voici une autre, qui sinon vieille, belle chanson
samedi 30 août 2014
MÉDIOCRITÉ ET MISÈRE
Pauvre Europe ! dont ces personnes sont soumises à tel ou à tel rance dieu, mâle, impitoyable, amant de l'adoration à soi, de cela qu'il ne délectait jusqu’à son arrivée chez nous que par des forniqueurs de chèvres…
jeudi 28 août 2014
MONSIEUR DES AVERSES
Que les personnes tranquille-nerveuses du sud qui n'étant pas trop habituées à la pluie, ce qui ne veut pas dire, soient exemptes des larmes des cieux chez elles ? Ainsi comme celles-là, tranquille-nerveuses du nord, plus habituées à leurs pleurs. À celles-ci, la pluie leur produit un délirant plaisir. Par conséquent, autant les personnes du nord s'en aller parfois séjourner au sud pour donner de la chaleur à leurs têtes, comme celles-là du sud s'en aillent au nord les rafraîchir.
Pourtant, comme ce « monsieur des averses » s'en va au nord, gratuitement, se tremper, personne par là ne lui accordera l'importance qui ne soit pas pour se moquer de lui. Autre chose est quand il s'en va au sud, dont les natifs n'aiment pas se tremper, ni moins leurs visiteurs, lesquels y vont tout justement chercher du soleil.
mardi 26 août 2014
UNE MATINÉE EN FAISANT LES COURSES
— Évidemment. Après, il a mal fini.
— Non.
vendredi 22 août 2014
PERMETTEZ-MOI DE RÊVER!
Il n'a pas eu besoin d'armes autres que la puissance de l'instruction et de la conscientisation ; assez pour que les personnes l'en soient. Attention aux curés tous : spéculateurs, politiciens de mauvais aloi. Pour beaucoup, vous priez à saint Robespierre, vierge et martyre, vous n'aurez pas la possibilité de vous sauver.
UNE MAUVAISE COMPARAISON
L'âne poussait la charrue, et chaque fois qu'il arrivait au bout de chaque sillon, il se hâtait de plus en plus, aussi sillon à sillon qu'il faisait. Il voulait bien sûr abattre la besogne, et peut-être duquel il l'en avait mis. Incapable d'arrêter, son impétuosité avait fini, fini la besogne absolument épuisée…
… L'âne semblait rire, et moi, réveillé des mirages fabriqués par l'ignorance, je me suis aperçu que l'intelligence n'est pas une prérogative uniquement humaine.
samedi 16 août 2014
L'HISTOIRE ET LA MÉMOIRE HISTORIQUE
De même que le romancier fait de ses personnages ce qu'il veut, il y est maître. Les historiens « de papier couché » désirent faire autant de l'histoire quand celle-ci est déjà œuvré, d'où que leur travail soit de fouiller dans le passé, pour l'en faire sortir à la lumière tel qu'il a été.
Pourtant, ces douteux historiens s'obstinent à faire notables tous lesquels se sentent particulièrement, chacun, attirés, n'importe qu'ils aient fait faire les plus atroces carnages. Voilà leur importance. Ainsi, s'en oubliait-on du peuple que tout à fait. Les uns prêtant leurs bras à faire des carnages entre eux. Les autres prêtant leurs têtes à permettre la fabrication de petits trucs, à partir d'où s'est fait possible l'immense avance technologique, en vue de mieux vivre la société. Ce qui, comme tout le noble, l'a avili, ces notables-là (nobles, on les appelle à ne plus se réjouir du malheur de leurs victimes) l'en profitant pour amasser leurs fortunes.
mardi 12 août 2014
LA VIE, LA TORTUE, ET L'AMOUREUSE
lundi 11 août 2014
IL FAUT NE RIEN FAIRE
Quelquefois, il faut ne rien faire. Mettre la tête en friche, de façon qu'elle n’envoie pas le minimum de stimulation pour faire agir aucun des muscles qui nous font tenir ; jusqu'à ce que quelqu'un ose éveiller celui-là qui a choisi de se reposer dans les limbes.
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Il ne faut pas s'efforcer de penser, rompant le repos. À cause de quelqu'un qui te le rompt. Ce soit quelqu'un chevauchant sur deux roues. Ce soit un autre, mélo maniaque complexé du malsain bruit. Ou pourquoi pas qu'un autre, qui se fait faire des réformes chez lui, ou que chez lui, il a enfermé un chiot. Soit quelqu’un d'autre qui crie pour le plaisir de le faire, en blessant les oreilles du voisinage avec…
dimanche 10 août 2014
LOUER LA LIBERTÉ ET FAIRE ÉLOGE DE DIEU
Il a mal fini le poète de louer la liberté qu'il emploie dans le temps, qui se présume, reste-t-il, en faisant l'éloge de Dieu.
Quelle manie celle-ci des mortels qui, n'en voulant pas avoir patron de leurs vies, cherchent-ils patron dans leur au-delà ?

Si dans la vie vous ne pensez qu'à la mort, le patron qu'en vie durant vous n'aviez pas souhaité, l'y aviez eu de même, comme celui-là à qui vous aviez gardé pour vos trépas.
vendredi 8 août 2014
LA MYSTÉRIEUSE DAME DU CAMÉE
Un nouveau personnage s'est récemment ajouté à la faune qui pullule Montmartre, faisant « elle » de sa descente rue Abbesses tout un spectacle. Elle défile, et je dis bien, marchant telle qu'un légionnaire le 14 juillet par les Champs-Élysées. Ses muscles, parfaitement ordonnés, enveloppent sa parfaite structure osseuse, enveloppée elle de peau lisse. L'ensemble est voilé de vaporeux tissus qui, grâce au vent et aux souffles des badauds, l'en font coller à son exubérance, par la voile dissimulée, la laissant deviner.
La robe, qui montait depuis les pieds jusqu'au cou, si bien pas la même au quotidien du même métrage, est pourvu de décolletage qui se prononce jusqu'au creux qui façonnent ses inquiets seins, au-dessus desquels repose un camée dont s'est fait tailler une effigie masculine, quel mystérieux homme a eu tel grand honneur de telle convoitée place, à lui seul réservé.
Comme l'envie ne froisse plus que la cupidité, celle-là a mené une commère de la belle à se passer un jour où celle-ci se faisait briller, dévoilant le mystère de la mystérieuse effigie que la mystérieuse dame faisait pencher de son cou. Le voilà, il s'agit du mari de la belle, vivant encore, mais pas chez elle, ce que l'on peut faire penser qu'elle est follement amoureuse de lui, mais non, elle le place là, où tous ses effluves recueillis par sa robe, au sortir par le creux d'entre ces bourreaux l'en fassent punir de non-pouvoir les toucher, ni sentir, ni les savourer… tordue femme, qui pour faire souffrir, souffre-t-elle, ou peut-être, souffre-t-elle sans faire souffrir.
mardi 5 août 2014
INSIPIDE QUIÉTUDE ... ETC.
Les humains devenus animaux d'engrais que l'on ne veut rien savoir du savoir ; qu'ils sachent lesquels ils croient savants : deux plus deux = à plus qu'ils en soient plus sages à ils les feront.
dimanche 3 août 2014
UN CADRE SI RÉEL QU'IMAGINAIRE
Août est arrivé, c'est l'après-midi, il fait chaud. Le jour est gris, une fille marche par un trottoir, sous des arbres qui ne font pas d'ombre. Elle-même ne l'en fait pas, peut-être qu'elle-même soit une ombre, aussi comme les arbres, des nuages que depuis là-haut dessinent ces arbres et la fille qui marche par le trottoir. Ce tout était encadré de hauts bâtiments qui ombrent, ombrant la lumière, ne laissant pas passer que les ombres des nuages, plus hautes que ces murs de béton.
Un quidam par là regarde, qu'est-ce que je suis par rapport à ce tableau ?
Le peint imaginaire ou un spectateur confus ?
vendredi 1 août 2014
LE MIEUX AMI DU CHIEN DE MON AMI
Mon ami avait un chien, pas trop gros, plutôt petit, auquel les sans-esprit du quartier qui passaient devant chez lui faisaient tout ce qu'ils savaient. Ainsi, tout ce qu'ils n'en savaient, ils l'inventaient pour le taquiner, auxquels le chien de mon ami, plus intelligent que pour petit, ne faisait pas attention ni d'eux ni de leurs conneries.
Tenant le chien de mon ami, dans les fêtes de la ville durant, d'hôte, son meilleur ami, les casse-pieds suivaient à pratiquer des manières gênantes. Un jour que le meilleur ami du chien de mon ami, fâché, s'est mis prêt à s'y affronter, ce que le chien qui ne voulait pas envenimer le séjour de son meilleur ami l'avait empêché.
Un après-midi dont le petit chien de mon ami et son meilleur ami se siestaient. Les infatigables casse-pieds qui ne voyaient pas. De même qu'ils n'avaient jamais vu le meilleur ami du chien de mon ami. En voyant tout seul le petit, l'un y parmi (avec l'acquiescement des autres), il prétend lui casser la couillonnade. Les rires de tous eux ont fait se réveiller le meilleur ami du chien de mon ami. Qui était en train de faire autant que lui, celui-ci qui avait une mauvaise se réveiller ; il mange les jambes, les mange les bras et ne les mange pas, la couillonnade parce qu'ils ne l'en avaient pas, comme non plus la tête, puisque y n'avait rien non plus à manger. Il, le meilleur ami du chien de mon ami, les laisse le tronc pour que leurs estomacs souffrissent.