ni dieu, ni roi, ni mondialisation; la voici une autre, qui sinon vieille, belle chanson
samedi 31 mai 2014
LES POÈTES NE PORTENT JAMAIS CASQUE
jeudi 29 mai 2014
NOUS SOMMES, CHACUN, L'HORIZON
Chacun de tous nous est horizon, c'est pour ça que pour beaucoup qu'on le poursuivra ne l'atteindra jamais.
mercredi 28 mai 2014
LE COMPLEXE DES MÉDIOCRES, LA GRANDEUR!
Nous les humains, irréfléchis adorateurs de l'inconnu, maniés par les inventeurs de l'âme, la grâce à de passeport à l'éternité… à la gloire ! (à la sienne) de cela qu'ils profitent, pour bien vivre* avant de leur trépas au néant durant, faisant métier de guichetiers du faux. *Personne doit s'étonner qu'ils se résistent à s'en aller chez leur chef.
À nous les humains, notre manie d'en aller poursuivre la grandeur ailleurs, nous a fait perdre la conscience que la grandeur est la vie ; la vie est le tout à nous, avec tout cela qu'elle entraîne, puisque toute forme de vie y constitue part. La grandeur, la nôtre, va minant la vie autre que la nôtre, en conséquence, la nôtre même.
vendredi 16 mai 2014
L'EUROPE ... LA PAUVRE!
mercredi 14 mai 2014
LE FEU NE DEVIENT QUE FUMÉE
mardi 13 mai 2014
LA VIE, PARASITE D'ELLE-MÊME
La vie toute, dont les animaux, y compris parmi les mammifères lesquels nous sommes qui, le plus directement, ne l'en commençons que comme parasites.
Dans ces parasites, dont les mammifères sont lesquels nous concernent. La vie commence à se développer au-dedans de la mère, à elle attachés du nombril pour à travers d'elle sucer, de sa vie, à la sienne ceux-là, pendant, ils sont en état larvaire, jusqu'à on est devenu nouveau-né ; donc, à partir que celui-là devient parasite externe, cette fois attache aux seins de sa nourrice le nourrisson, sera difficilement décollé des tendres chairs ; ce qui est plus que compréhensible. Après le parasite se laisse commodément nourrir, jusqu'à la mère doit amoureusement se défaire de l'égoïste amour filial. Ce que dans les humains devient au jour le jour si plus tardif qu'il semble que les fils prétendent faire que leurs mères passent directement de mères à mères, délaissant de côté le transit en tant qu’aïeules.
Soit, au moins les humains (je n'ai pas pu enquêter mammifères d'autres de peur qu'ils se moquent de moi, de nos habitudes, en tirant n'importe quel la contre-enquête à laquelle il aurait le droit), nous faisons de notre nombril le centre de l'univers ; nous l'y sommes chacun, et rien n'importe qui ne soit le fils, que l'on prétend qu'il soit l'image à lui succéder ; mais attention ! toujours que l’héritier de cette image ne soit point intéressé à la succession… les humains aimons "le moi" comme il est l'amour : « éternel ». Bien que si chez l'amour, l'amour dure, ce qui dure, dure, chez le moi, le moi persiste, de même que l'on arrive à se pourrir.
dimanche 11 mai 2014
À PROPOS DE L'IGNOMINIE DE L'ESCLAVAGE
samedi 10 mai 2014
COMMÉRAGE VENU DE L'OLYMPE
vendredi 9 mai 2014
UNE DÉCISION RATÉE
mardi 6 mai 2014
RA SE FAIT MONTRER
Depuis que l’anticyclone des Açores a laissé de brasser les nuages, Ra se montre défiant pour les communs des mortels, lesquels parmi tous qui l'en sont, ils sont les moins ; sans se plaindre jamais, et, pour tout faire, ils se garent de lui dans les bars sombres… comme il faut.
Toutefois, le gros assorti, pas commun, accepte complaisant d'être touché des rayons de l'astre ardent. Ces non-communs qui tellement nuages par terre, sortent se promener, défiants, eux aussi, à l'intempérie, les uns se tenant bipèdes, les autres s'aidant d'un autre point d’appui qui fait d'eux des « tripodes ».

De toute cette faune emballée, lesquels m'appellent le plus l'attention sont les célibataires, qui pour eux, se faire de la fine figure à chercher contre qui s'épouser, font couler la sueur. Pour ériger en clochers trapus faire sonner leurs cœurs tels qu'ils fusent cloches cassées… pauvres ! quand ils seront divorcés, feront courir les corps consommés du transit par le mariage (elles à chignon, eux aussi, auxquels les restent des cheveux) fourrés tous dans les étranges mailles noires remplies de propagande.
dimanche 4 mai 2014
TOUT LE MONDE, OU PRESQUE, VEUT ÊTRE DIEU
La dose d'égoïsme intrinsèque à toute forme de vie est devenue tellement démesurée en nous, les humains, qu'il nous a fait perdre jusqu'au sens de notre animalité, y arrivant même, sa dénomination, à être une insulte entre nous.
Cette démesure qui a fait nous croire, aux uns sans dissimuler aux autres, avec dissimulation, que nous sommes dieux, et, le voilà quelle démesure saugrenue, puisque si bien jadis il y avait place de dieu en quelque chose quoi qu'elle en soit, qu'au fur et à mesure le temps s'est passé, c'est arrivé qu’aujourd’hui il n'y a qu'un seul dieu ; avec différents représentants, y parmi différentes représentations avec, selon les convenances ou plutôt caprices, de chaque, en restant quelques autres par ici par là, qui sont quelque chose comme des trompettes d'escadron. Malgré la rareté de places à dieu, sauf quelques asservis incorrigibles, le monde se sait, dans son for intérieur, dieu ; c'est pour ça que parmi les croyants, il y a tant d'athées : pourquoi croire en dieu, si on l'en est ?
Mauvais remède à ce surdosage, qui nous a fait envisager la vie telle qu'une affaire, tandis que l'on ne trouve pas la vaccine si c'est qu'on la trouve avant notre perdition, celle-ci que nous fasse à nouveau retrouver le sens de que la vie n'est que vivre.
samedi 3 mai 2014
PAUVRES LOUPS, PAUVRES NOUS, PAUVRE EUROPE
Aujourd'hui, les loups ont perdu la peur aux hommes, pourtant, ils poursuivent à courir derrière le peu de gibiers qui restent à eux, mais devant l'épouvantable que servile tête-locomotrice ; servile, bien entendu, aux intérêts qui ne sont pas aux de son voisinage, ni évidemment non plus aux loups, lesquels sont voisins eux aussi.