vendredi 21 septembre 2012

UNE QUESTION DE RESPECT

    Ni je connais ni je sais de personne, qui n'étant croyant en cela qui n'existe pas « soit une puissance de caractère surnaturel, soit un absolutisme terrestre » qu'elle incite à la violence, ni beaucoup moins à la haine ; étant la violence plus propre du terrestre, tandis que la haine, bien qu'elle ne méprise point la violence, l'en est du surnaturel.

     Le fascisme a été depuis qu'il en est, maîtrisé par les plus cons de la classe des cons, ceux-ci aux cœurs froids, qui sélectionnent leurs victimes, objectivement, dans ceux-là qui n'en étant aussi cons qu'eux ; ce qui fait de ces personnes normales, selon leur avis, dangereux à leurs cons propos, soit : le barbarisme des cons ; ce qui bien se peut définir comme une grosse connerie. 

     Pourtant, les prêtres du divin, ceux-ci de cœur brûlant d'où sort la haine, si chaude, que facilite l’élaboration du bouillon d'une violence exacerbée, pour au nom de leur impitoyable miséricordieux : tuer, violer, torturer, raser, voler… tout lequel n'en est aussi pieux qu'eux, souvent ils se massacrent y parmi : dommages collatéraux... pas problème, les qu'y sont en grâce divine, ils iront au ciel ; celui qu'il semble, selon eux, autant au monde terrestre qu'il ne laisse d'en être qu'un enfer sans chauffage.

    Les uns les autres, les pauvres n'ont pas du sens de l'humeur. Les uns les autres veulent nous sauver de l'enfer dont nous étions tout contents. Cependant, nous, qui croyons (on est libre de croire ce que l'on veut) qu'ils vivent dans la merde. Nous ne les interdisons de l'en faire, seulement les supplions qu'ils n’éclaboussent pas. 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire