dimanche 19 août 2012

UN ESPRIT MONOGAME

    Quand un homme est envahi d'un esprit monogame, bien peut-il se considérer touché de la chance ; donné le cas que les circonstances furent propices, comme l'amour qu'il a versé, dont le défaut de promiscuité sinon le rendre plus facile l'en simplifie quand même, s'en est-il perdant par les fissures qui s'était fait en fabriquant au long de la canalisation, dès la source à l'embouchure.

     L'amoureux en question, devenu donc homme libre de soi-même, sans besoin qu'il porte tel que les vaches, la puce (distinctive de son état -sanitaire à elles-) penchée au front de l'oreille, ce qui, peut-être, peut qu'il l'en porte à là-derrière. Quoi qu'il en soit, notre homme pourra se dédier par entier, à l'observation de la vie (et si la puce pique, qui pique, tandis que ne l'en sortent pas de dents) la vie, ce monstre interminable, interminablement se métamorphosant, de la même pâte dont il est composé, en toute sorte de conneries interminablement interminables (soit, quelqu’un souhaite que je termine ici).

   Cet incontestable théâtre, où n'a que scène, par celle-ci parfois pullulent, distraits, quelques-uns qui se croient maîtres, sans savoir, ni même de quoi ! Pauvres cons, riches et misérables, qui sont seulement dangereux, s'ils trouvent d'autres, misérables et pauvres, qui veulent être autant qu'eux.

     Profitez-en, la fonction, bien sûr, sera amusante !

     … Allez va. Il ne faut non plus laisser d'aimer. Cela peut être jusqu'à amusant, cassant aussi, mais c'est mieux qui supporter les politiciens… peut-être.

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