mardi 7 août 2012

CONCERTO POUR VIOLON ET CLAIRON

    Le vent souffle en sniper, tirant des dards empoisonnés, pas nécessairement de malheur, mis au point par un violon, qui autant auquel vise à mouche, joue-t-on par son compte, des airs dissonant aux accords consonants dans le grand orchestre.

   Y parmi les sons : aiguës, tranchants, choquants, désaccordés à celle-là, ce sniper noyauté, armé par la douceur habillée en haine, d'un flingue, par, pour en tireur, décharger sur les oreilles de l'ami, tenu en ennemi.

    C'est la guerre ! dont bien que l'on alla milles de batailles, toutes seront perdues ; y malgré, un guerrier est un guerrier : un vrai, il doit lutter. Dans l'ardeur de la bataille un guerrier ne pense point : ni en gagner, ni en perdre, il ne pense même pas, il combat.

   Dans le fracas de la bataille, ce guerrier, qui se voyant perdant même en gagnant, jette son violon à un côté, changeant cette arme par un clairon, pour le vent contre vent, faire lutter son ennemie avec. 

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