Assez de promener mes yeux par la planète Terre, en jouant les coudes avec les autres vivants, devenus concurrents, pour ne pas arriver à aucune part.
C’est
donc que j’ai envoyé mon regard faire du tourisme par l’espace.
Là-haut,
où errent les esprits forgés dans la Terre, rien de bon ne peut
s’attendre ; il faudra s’en aller plus loin, où l’extension
des pourris ne se propage pas.
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