Assez de promener mes yeux par la planète Terre, en jouant les coudes avec les autres vivants, devenus concurrents, pour ne pas arriver à aucune part.
ni dieu, ni roi, ni mondialisation; la voici une autre, qui sinon vieille, belle chanson
Assez de promener mes yeux par la planète Terre, en jouant les coudes avec les autres vivants, devenus concurrents, pour ne pas arriver à aucune part.