En étant chez moi, allongé dans le lit, pratiquant frénétiquement « la dolce far niente » depuis la fenêtre, je vois les branches d’un arbre, feuillées encore, danser doucement.
C’est à cause du vent qui, invisible à mes yeux, joue une musique inaudible à mes oreilles.Ce vent qui, en s’ouvrant la porte de l’automne, s’est fait de plus en plus fort, jusqu’à ce qu'en défeuillant les branches, les a transformés en les fouets qui vont fouetter… le musicien !
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