vendredi 12 février 2021

TELLEMENT UNE ROUE DE SECOURS

    Même que je sois si amant des courts récits, comme je le suis des femmes petites, parfois, il faut que j’étende l’encre.


    Donc (pas bref) surtout les fainéants riches, qui en se mettant à penser, ils pensent que la surpopulation, des dépossédés, que non cela des possédants. Ces impertinents misérables qui ne pas seulement prétendent, sinon qu’ils, parfois, consomment, en épuisant les ressources dont les possédants ont besoin. Il faut impérieusement mettre le frein à la multiplication des misérables, bien entendu, lesquels ne soient pas indispensables pour le bien-être des opulents. Eh bien, voilà précisément le bien-être, mais de la faune humaine toute, dont se trouve le nœud du problème, un monde équitable serait le seul régulateur de la population. Voyons, les riches font leurs progénitures nombreuses en vue que leurs accumulations aient suite, tellement qu’une roue de secours d’une voiture ; si quelqu’une crève, en la remplaçant par celle-là, celle-ci pourra poursuivre chemin. Chez les pauvres, c’est autant du même, mais depuis autre point de vue, ceux-ci pensent que leurs progénitures seront leur soutien à leur vieillesse.


  
Pourtant, opulents par décadence et misérables par négligence, les uns les autres, tôt ou tard, tous échoueront.

1 commentaire:

  1. " j’étende l’encre." excellent !
    Courts ou étendus j'aime vos récits.
    Oui, "tôt ou tard, tous échoueront. " !

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