Dans la grande maison de l’humanité, il y a de si nombreuses qu’énormes chambres, chacune entourée d’étalages dont les personnes rangent, chacune, dans beaux petits pots en faïence, bien fermés, leurs vœux.
Dans
le centre de chaque chambre, vide, le silence garde la poterie.
Le jour fut venu dont le vandalisme prend forme en un vandale d’une masse armé.
Celui-ci qui entrant dans la susdite maison il passe de chambre en
chambre dont il fait débris toute la faïence. En arrivant au grand
salon, le casseur ne trouve aucun pot : malchance à lui ces vœux-là ne sont plus.
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