Les rues pleines d’obstacles semblent gymkhanas.
Il
y a des crottes de chien que leurs maîtres humains ne ramassent pas,
ainsi que des humains-crotte. Petites celles-là et grandes ceux-ci
qu’il faut esquiver pour ne pas se faire imprégner de la merde.
Pourtant, malheureusement, la pestilence y reste.
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