L’immense
espace à nous, insignifiant espace dans l’espace, se détériore
inexorablement.
Insignifiant
espace dont le monde se couvre d’un bouclier, de faux espoirs, pour
ne pas voir au-delà, pour s’y faire croire en un placide, beau,
monde.
Babel
que notre imaginaire bat, sans briques, sans mortier… sans mains
prêtes au travail.
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