Nietzsche, il y a plus d'un siècle, écrivit la note nécrologique : Dieu est mort, pour, par la suite, ajouter une autre policière : nous l'avons tué.
Je désapprouve tout avec lui ; personne ne peut tuer ce qui
n'a pas été enfanté, car nous avons plutôt « inventé » Dieu, pour en
méprisant l'animalité dont nous faisons part, nous réinventer en dieux.
Pourtant, nous en sommes parvenus… bien que pas tous, mais ceux qui ont fort
accumulé de la richesse ; celle-ci, un venin suicidaire qui va bien
nous tuer à tous.
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