lundi 31 juillet 2017

MALHEUREUSEMENT C'EST COMME ÇA

    Un tourne-disque fait sonner une chanson du poète argentin Facundo Cabral, dont la ritournelle pourrait se traduire :
 

  
Une moitié du monde en attendant.
   Avec une fleur dans la main.
   Et, l’autre moitié du monde.
   Par cette fleur, attendant.
  En suivant la musique, inconsciemment, comme par acte réflexe, je me suis mis à fredonner à mon libre arbitre :
   Une moitié du monde aux aguets.
   Avec une arme dans la main.
   Et, l’autre moitié du monde.
   Avec une autre arme, à la main, attendant.
 

   
Cependant, il ne reste pas autre quand on se sent menacé que de faire autant que le présumé attaquant… s'armer !

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