L'automne fonce dans l'hiver comme en
fuyant de l'été. Les feuilles des arbres, une fois dorées, tombent,
dorant le manteau vert qui leur ombre auparavant a maintenu sa
couleur fraîche.
Chez nous, les mouches déambulent, pusillanimes, en attendant la mort, soit elles ne sont maintenant presque pas des hôtes gênantes, mais sa mort ne veut pas dire anéantissement ; elles ont laissé leurs larves hivernantes.
Or, quand le printemps, en fuyant l'hiver, fonce l'été, lorsque les
feuilles repoussent ; le manteau reverdira, les larves
écloront et à nouveau, on aura de gênants hôtes partout.
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