Qui se met sous une pergola devient conditionné, obligé presque,
aimer la nature qui l'entoure, ou dominer tout y parmi, qui est chose pareille que le mépriser.
Pourtant, qui n'est pas aimant d'aimer ou de mépriser, s'enferme
dans les murs de chez-soi, les fenêtres par des volets aveuglés
pour y s'apprécier ou se mépriser, tout seul à lui-même.
D'où que l'on se fasse passer sa vie pour immatérielle, métamorphosée en
vent, sans aimer ni mépriser personne, ni animal, ni autre, ni chose,
ni à lui-même : il existe.
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