lundi 20 juin 2016

FANÉ FLORIAN, IL REPREND DE LA FRAÎCHEUR

    Florian marchait, tête baisse, méditatif, si fané que les pétales se l'y détachaient, façon qu'il avait de pleurer la solitude, à cause d'une ingrate* qui l'avait abandonné.
   (*C'est ça qui j'ai lu sur ses yeux que non une observation mienne.)
 

   La démarche pensive de Florian se voit soudainement interrompue par le battement des ailes d'un petit oiseau qui le frôle la tête, ce qui le fait lever la machine des rêves.
 

   À ce moment-là même en voyant Florian les acteurs, cause du brouhaha dans la rue, il voit y parmi tant de belles que cela le fait penser que la solitude n'est qu'en lui.

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