dimanche 24 avril 2016

STUPIDE OBSTINATION

    En regardant la trajectoire historique toute, dont le présent compris, bien entendu, de l'humanité, je ne peux pas que déduire que, probablement, l'homme s'obstine à penser beaucoup plus à tuer aux autres qu'à vivre lui-même.
 

    Pourtant, le plus souvent, heureusement, on ne tue personne. On tente aussi, tant bien que mal, de survivre, inopinément, plutôt que de vivre.
 

    Penser que si tout le temps que l'on emploie à penser à tuer fut employé à vivre, la vie, peut-être, pour tous nous serait sinon quelque chose de pleinement satisfaisant, bien sûr, légèrement plus réconfortante quand même.

mercredi 20 avril 2016

FABRICATION IRRESPONSABLE

    Depuis que les dieux, pour l'en être, ont accompli la fabrication des humains ?


    À ceux-ci auxquels ceux-là ont détendu par tout à leur aise ; peut-être pour qu'ils se reproduisent, comme en fait, ils ont fait, tellement lapins.    



    Les humains, pour n'en pas être moins, ont, eux tous seuls, fabriqué la stupidité.

lundi 18 avril 2016

UNE HISTOIRE POUR LE FUTUR

     Une certaine humanité, ou quelque chose comme ça, a fait du monde, de son monde, un monde rempli d'obstacles dont beaucoup de composants de celles-là s'étaient fait distinguer en sauteurs.


    Dans les espaces délimités par les murs qui façonnaient ces obstacles-là, beaucoup plus de ces personnes-là jouaient la pelote. 

 
    Jusqu'à un jour, les joueurs incités par les sauteurs envahirent le domaine de Bacchus en détruisant à coups de pied sa plantation. Fâché, le dieu, tellement un tigre enragé, fait appel de secours à ses coreligionnaires, ceux-ci qui, à coups de pied dans le cul, jettent les malveillants dans le désert dont il y a tout l'espace pour faire des murs.

vendredi 15 avril 2016

PARFOIS ON NE PEUT PAS SE REPOSER

    Je ne sais pas s'il y est apparu, d'où s'il est venu ; la question est qu'il a eu besoin de six jours, a mis de l'ordre dans le chaos.
   

   
Pourtant, de cela que je suis certain, c'est qu'au septième jour, il a prétendu se reposer, bien que pas pour longtemps, puisqu'il a bientôt dû retourner travailler… le pauvre !
 

    Ceci qui s'est passé, quand en voyant, le pauvre, l'état des choses, il y a fallu créer l'athéisme pour faire place à l'intelligence. 

mercredi 13 avril 2016

UN MIROIR FAIT DE LA MUSIQUE

    Il pleuvait. Moi, pour me garder de l'humidité extérieure, elle m'avait fait mettre dans un bar. En regardant à travers la vitre que la chose s'était calmée, je n'y ai vu que l'image d'un homme.
 
 
    Un homme qui pensait, tandis qu'il regardait le verre de vin que ses mains tenaient, je n'en ai pas su sur quoi, jusqu'à soudainement sa pensée musiqua :
   On n'est qu'une plante qu'il faut arroser ;
   Pour de nos bourbons nous épanouir
   Pour en fleurs vieillir,
   Pour ne pas en rester bourbons
   Pour ne pas en pourrir.
 

    
Juste au temps que le silence à nouveau s'est fait, le pensif quitte les yeux du verre de vin pour, aux yeux fermés, soigneusement, doucement, l'embraser. Il ne voulait peut-être pas pourrir.

lundi 11 avril 2016

LA PROPRIÉTÉ SALIT LE PROPRE

    J'aimerais bien les fleurs de mon jardin… mais je ne possède pas de jardin.
 

   
Ce qui ne quitte pas que je n'aime pas les fleurs… toutes… nettement.
 

    J'ignore pourquoi soudainement me vient que la propriété salit tout ! 

samedi 9 avril 2016

LES LOUPS SAUVAGES ET LES HOMMES CIVILISÉS

    Un ouï-dire soufflé depuis la selve a poussé en arrivant chez nous en un diton qui dit :
   « les loups ne se mangent pas entre eux »
 

    Il sera parce qu'ils se conduisent « sauvagement » en se respectant et en respectant les principes tirés de l'environnement dont ils habitent. 
 

    Pourtant, les hommes civilisés, nous faisons tromper parmi, détournant les fondements de la démocratie que nous-mêmes avons créée pour vivre en paix.

mardi 5 avril 2016

INCORRIGIBLE POUTINE

    Personne n'en doute, depuis quelques années, j'en ai vu de mes yeux ce que je vais vous raconter.
 

    Paris, rue de l'Abbaye, de face, contre la grille qui entoure l'église Saint-Germain-des-Prés. Un athée, probablement, abandonnait ses urines. Celui-ci qui était, j'ai constaté, le petit ami de la cousine d'une fille, laquelle était la meilleure amie d'une autre qui avait été élève du même professeur de sciences naturelles que la fille aînée de Poutine. Quand celle-ci faisait le baccalauréat ? Professeur à qui Poutine avait serré la main à l'occasion… fortuite ? permettez-moi, je le doute, du rendez-vous qu'avec lui, il avait eu pour s'intéresser aux études de sa petite. La question n'est qu'à la main du professeur, en passant de main en main. Il était arrivé les flux urineux du pisseur, celui-là qui de sa main les avait transmis à la main de Poutine, flux qu'à son tour celui-ci transmet de la sienne à chacun… il est incorrigible !
 

    Imaginez-vous, je me garde bien de l'en faire, que ce salop-là, au lieu d'uriner, chiât-il ?

lundi 4 avril 2016

L'EUROPE SALOMONIENNE

    Probablement non, tout cela que nous tenons pour des métaphores historiques l'en est tellement…    
 
 
Si Salomon a coupé à deux l'enfant, celui-ci, qui était vraiment une fillette, qui s'appelait Europe.
 
 
    Le voilà qu'une moitié est devenue une pauvre prostituée, aussi que l'autre une femme de caractère.

vendredi 1 avril 2016

MUTATION PROFESSIONNELLE

    Les temps sont passés dont les flemmards se mettaient parler à/de dieu pour ne pas travailler.


  Maintenant ceux-ci se font écouter en experts économistes, voire pantins des spéculateurs, si cela se peut considérer travaille, puisqu'ils ne produisent rien, ni rien expriment que n'en soit d'exprimer ceux-là qui travaillent.


  Soit, que ces fainéants, en se modernisant, ont abandonné dieu pour se faire politiciens.