J'ignore si, parmi les animaux tous, nous sommes les seuls à être touchés de la dichotomie : songes, réalité.
Jusqu'à tel point ça nous arrive, que personne ne peut nier, quelquefois a douté, que de tous les deux est la réalité ou le songe.
ni dieu, ni roi, ni mondialisation; la voici une autre, qui sinon vieille, belle chanson
J'ignore si, parmi les animaux tous, nous sommes les seuls à être touchés de la dichotomie : songes, réalité.
Jusqu'à tel point ça nous arrive, que personne ne peut nier, quelquefois a douté, que de tous les deux est la réalité ou le songe.
La question est que les prêtres de l'une de l'autre église, aussi comme ceux-là de toutes les autres, tous mangent en compagnie des gourmets.
Ces défenestrés marchants-là, qui une fois tombés dans le chômage, à défaut d'intelligence, se sont faits vendeurs d'eux-mêmes comme possesseurs de celle-ci.
« Il n'y a pire change que celui-là dont ne se change rien » je m'explique : d'abord, c'est un mensonge ! les politiciens ne sont ni larrons, ni méchants, ni flibustiers, ni minables, ni stupides, ni menteurs, ni brigands, ni traîtres, ni hypocrites, ni crapules, ni portent casque non plus pour se faire dissimuler.
La vérité est que lesquels se cachent dans un casque : les crapules, les hypocrites, les traîtres, les brigands, les menteurs, les stupides, les minables, les flibustiers, les méchants et les larrons. Ainsi que d'autres spécimens, possesseurs de délicates qualités telles quelles, se font tenir par des politiciens pour exercer leurs indésirables professions ; incompréhensiblement avec l'agrément de leurs victimes, ce que ceux-là font faire, disent-ils, démocratiquement.
Les Européens, de notre nonchalance qui nous a mené à nous croire bourreaux et victimes, à cause de ne pas nous déranger à prendre par les cornes le taureau violateur de notre belle (celui-ci qui gracié de notre permissivité a déplacé l'amoureux). Nous nous sommes tous mis dans les mains de ces mauviettes qui ont fait couler notre Europe dans le pétrin.
Ces oiseaux de mauvais augure, qui quand quelqu'un y parmi, il veut s'envoler hors de la volée, la maîtresse, que non celle-là du casqué, avec la règle, au lieu d'enseigner, tracer des figures géométriques, elle la pose, pas doucement, sur la tête de l'aventurier pour le faire mettre à la ligne.
Ces traîtres, qui vendent la liberté de leurs peuples, les nôtres, à la plus pelliculeuse indécence, ne sont pas les seuls coupables de telle ignominie, puisque sans l'acquiescement de tous nous « canards boiteux endormis » ils ne pourraient rien faire.
Vive l'Europe ! sans les faux culs qu'y pullulent et la Russie, évidemment, qu'y fait part !
Qu'a-t-on fait dans notre pauvre Europe de nos dieux ? — En rapport avec l'environnement dont nous touchons en sort à vivre, sinon que simples comparses de l'un des impitoyables, tout-puissants, mâles, omniprésents, et absolutistes, d'importation ; en les faisant saints martyrisés (manie de tout martyriser) ce qui a permis aux porte-parole des dieux étrangers : vrais maîtres du credo, s'emparer de nos vies, psychique-et-physiquement, pendant des siècles ; actuellement par voie économique.
Cet obscurantisme qui a imprégné notre société de tous ses maux. Ceux-ci qui se font sentir de nos jours encore, malgré le décollement qui s'en est venu graduellement faisant d'eux. Pourtant, et malgré les acolytes d'un côté ainsi que d'un autre de ce type de dieux, lesquels y parasitent en silence… Comme pour permettre maintenant le débarquement d'un autre de plus, qui nous transporte de nouveau aux profondes ténèbres… j’en prie ces étrangers de nous laisser en paix, pour en elle, souffrir nos dieux laïques.
Les dieux, dits de la paix, que l'on professe aujourd'hui par ici, tournent en ridicule aux dieux de la guerre d'antan, lesquels chevauchaient par nos terres et nos cieux, en leur métier concernant…
… on ne peut pas vivre tranquille !
Les rats ne s'efforcent pas trop, ils ont l'habitude de faire semblant d'avoir de la peine, cette fois à cause du décès du chat, tandis qu'ils mangent de l'assiette qui pour lui fut servie.
Le silence était gratté par des fines ongles des muridés, qui autour de l'assiette le lui rythmaient de leur presque inaudible grignoté. En silence, elle aussi, la peste, qui l'a tué, est partie à la recherche de nouvelles victimes.
Il était une fois un monde, dont lesquels y appartenaient, tous, étaient boiteux, et comme en étant boiteux, que non imbéciles, ils ironisaient les uns les autres de leur défaut : l'humeur est un symptôme inéluctable d'intelligence.
Et, si les boiteux savaient d'autres mondes dont la boiterie, si existait, était un délit, ni ils n'allaient y boiter, ni ne se moquaient de ces gens-là pour ne pas l'en être. C'est comme s'ils les ignoraient et s'y attendaient autant.
Et, si n'importe qui ne l'en est pas, se rend chez les boiteux. Boiteux qui s'y moquent, il suffit de ne pas aller chez eux.
Un porc ramassait des châtaignes dans un bois duquel se considérait patron un paysan, en les emmagasinant en lui. Un homme qui le regardait de manière convoitise. Ce qui fait méfier, de telle manière, que le porc lui dit : si tu m'as pris pour un entrepôt, va t'en faire foutre. Anastase (qu'il s'appelait) laisse d'engloutir et ne mange pas que l'indispensable.