samedi 31 janvier 2015

À PROPOS DU SONGE ET DE LA RÉALITÉ

    J'ignore si, parmi les animaux tous, nous sommes les seuls à être touchés de la dichotomie : songes, réalité.

 

    Jusqu'à tel point ça nous arrive, que personne ne peut nier, quelquefois a douté, que de tous les deux est la réalité ou le songe.


    Je dois avouer que je préfère me tenir à la dictature de mes songes qu'à celle-là des songes d'autrui.

mercredi 28 janvier 2015

FAMÉLIQUES ET GOURMETS

    Quand le peuple n'a rien, ou peu en tout cas, à manger, lesquels en ont parmi, soit lesquels se sont fait ses maîtres, ils sont devenus des gourmets.
 
 
 
     L'Église catholique a traditionnellement soulagé la faim, même qu'il en soit légèrement (desquels, bien entendu, se sont fait ses acolytes, croyants de ceux-ci plus que de ceux-là) avec le pain et le vin. Autre église qui n'est pas ainsi de proche à nous que la Christiane, a fait que ses croyants se donnent des coups dans la tête pour que la douleur dans celle-ci dissimule le douloureux vide de leurs estomacs.
 

    La question est que les prêtres de l'une de l'autre église, aussi comme ceux-là de toutes les autres, tous mangent en compagnie des gourmets.


MIEUX NE PAS FAIRE DES COMPARAISONS

    Les vendeurs de peignes à chauves, contrariés par les verdeurs de perruques, au ne pas savoir s'en sortir, se sont mis sous la peau de politiciens.
 

    Ces défenestrés marchants-là, qui une fois tombés dans le chômage, à défaut d'intelligence, se sont faits vendeurs d'eux-mêmes comme possesseurs de celle-ci.

 
 
    Ne vous laissez pas tromper les personnes normales, ce qui n'est pas être peu ! En vous croyant les plus sages ; ce qui le justifierait en vous comparant aux imbéciles.

mardi 27 janvier 2015

PAS CHANGER N'EST FAIRE DE LA POLITIQUE

    « Il n'y a pire change que celui-là dont ne se change rien »  je m'explique : d'abord, c'est un mensonge ! les politiciens ne sont ni larrons, ni méchants, ni flibustiers, ni minables, ni stupides, ni menteurs, ni brigands, ni traîtres, ni hypocrites, ni crapules, ni portent casque non plus pour se faire dissimuler.

 

    La vérité est que lesquels se cachent dans un casque : les crapules, les hypocrites, les traîtres, les brigands, les menteurs, les stupides, les minables, les flibustiers, les méchants et les larrons. Ainsi que d'autres spécimens, possesseurs de délicates qualités telles quelles, se font tenir par des politiciens pour exercer leurs indésirables professions ; incompréhensiblement avec l'agrément de leurs victimes, ce que ceux-là font faire, disent-ils, démocratiquement.

 

  
Alors que, quand un peuple, démocratiquement, élit-il tout simplement des politiques pour se faire administrer la richesse à tous appartenant ; les faux, enragés, menacent leurs anciens exploités, tout en pour ne pas se laisser y faire. Petits satrapes : vive la Syrie ! Vive la Grèce ; celle-ci qui va peut-être ressusciter sa fille.

jeudi 22 janvier 2015

NOTRE BELLE OUTRAGÉE

    Les Européens, de notre nonchalance qui nous a mené à nous croire bourreaux et victimes, à cause de ne pas nous déranger à prendre par les cornes le taureau violateur de notre belle (celui-ci qui gracié de notre permissivité a déplacé l'amoureux). Nous nous sommes tous mis dans les mains de ces mauviettes qui ont fait couler notre Europe dans le pétrin.


    Ces oiseaux de mauvais augure, qui quand quelqu'un y parmi, il veut s'envoler hors de la volée, la maîtresse, que non celle-là du casqué, avec la règle, au lieu d'enseigner, tracer des figures géométriques, elle la pose, pas doucement, sur la tête de l'aventurier pour le faire mettre à la ligne.


    Ces traîtres, qui vendent la liberté de leurs peuples, les nôtres, à la plus pelliculeuse indécence, ne sont pas les seuls coupables de telle ignominie, puisque sans l'acquiescement de tous nous « canards boiteux endormis » ils ne pourraient rien faire.

    Vive l'Europe ! sans les faux culs qu'y pullulent et la Russie, évidemment, qu'y fait part !

mercredi 21 janvier 2015

LE BONHEUR ET LE MALHEUR EN TANT QUE TERRES DE CULTURE

   Il vaut mieux souffrir la vie durant qu'être heureux par la mort, la mort n'est qu'un insignifiant soupir.


   Tous les gourmets de la vie (ce qu'il ne faut pas confondre avec les vivants tous) que j'ai connu, quand ils ont fait agir les girouettes pour clamer de leur bonheur, leur vie bientôt s'est rendue à la mort.


   Le malheur est de la bonne terre pour pousser la vie, toutefois dans le bonheur pousse bien la mort.

mardi 20 janvier 2015

NOUS ANÉANTIR NOUS-MÊMES

    Quelque chose m'a fait déduire que nous, les humains, avons autant des chiens que des canards (même que ceux-ci ne soient pas boiteux) aussi comme des vers ; voyons-y.
 

   Imaginez-vous une meute de chiens poursuivant une volée de canards. Dans cette course pour la survivance ; dont, il faut le dire, les chiens avaient d'autres choix, quand les uns auraient épuisé leurs ailes, aussi comme les autres auront fait autant de leurs jambes ; donc, les vers, qui se venaient faisant les invisibles, qui n'ont ni ailes ni jambes, firent un sort aux uns aux autres, ce que les canards avaient déjà le numéro gagnant joué d'avant ; d'avoir, bien entendu, les chiens jambes. 
 

  
Quelle manie nous avons, les humains, de n'être qu’humains ; quel besoin nous avons d'être chiens, canards (en dehors de l'en être boiteux) ou vers… silencieux.

dimanche 18 janvier 2015

L'ENTÊTEMENT PEUT FAIRE L'AMOUR ÉTERNEL

    À moins que tu ne m'aimes, j'espère bien que tu me haïras ; ce qui me fait au moins heureux de toucher ta pensée…  
 

    … le lui disait le chien à la chatte, sans rien lui dire, pressentant l'impossibilité presque d'un amour partagé.
 

    Le chien, entêté personnage, pas moins que la chatte, il faisait autant silence que l'un des aboiements, l'autre les miaulements ; se rêvant la nuit durant, se gardant le jour de ne pas se regarder.

LAISSEZ NOUS AVEC NOS DIEUX LAÏQUES

    Qu'a-t-on fait dans notre pauvre Europe de nos dieux ? — En rapport avec l'environnement dont nous touchons en sort à vivre, sinon que simples comparses de l'un des impitoyables, tout-puissants, mâles, omniprésents, et absolutistes, d'importation ; en les faisant saints martyrisés (manie de tout martyriser) ce qui a permis aux porte-parole des dieux étrangers : vrais maîtres du credo, s'emparer de nos vies, psychique-et-physiquement, pendant des siècles ; actuellement par voie économique.

 
 
    Pourtant, les déesses ont plus souffert ; magnifiques femmes amantes de la vie, de la joie de vivre, desquelles ces satrapes immoraux ont fait des mélancoliques vierges ; leurs grâces voilées, aux regards éteints des morts-vivants.    
 

    Cet obscurantisme qui a imprégné notre société de tous ses maux. Ceux-ci qui se font sentir de nos jours encore, malgré le décollement qui s'en est venu graduellement faisant d'eux. Pourtant, et malgré les acolytes d'un côté ainsi que d'un autre de ce type de dieux, lesquels y parasitent en silence… Comme pour permettre maintenant le débarquement d'un autre de plus, qui nous transporte de nouveau aux profondes ténèbres… j’en prie ces étrangers de nous laisser en paix, pour en elle, souffrir nos dieux laïques.

vendredi 16 janvier 2015

TROP COUCOU PARMI NOUS

     Tout problème doit se corriger, si l'on veut le faire, dans son origine ; puisqu'une fois il s'en est envolé, il ne va faire pour métier que de se masquer pour se dissimuler parmi le monde dont il va parasiter…
 
   
    … je n'ai pas été, furent les chinois, -ça au moins m'en ont fait croire à l'école- qui ont inventé la poudre.
 
    
    Quand j'ai dit auparavant « si l'on veut le faire » c'est autant du même que si j’aie dit : rien se laisse au hasard. De tout problème quoi qu'il en soit, si bien nuit n'importe quel peuple, il y en a un qui tire profit.  

mercredi 14 janvier 2015

C'EST LA LIBERTÉ QUI FAIT LA GRANDEUR

    Les dieux, dits de la paix, que l'on professe aujourd'hui par ici, tournent en ridicule aux dieux de la guerre d'antan, lesquels chevauchaient par nos terres et nos cieux, en leur métier concernant…


 
    Ces dieux, et déesses, les nôtres, déplacés depuis le débarquement des dieux mâle-monothéistes-impitoyables dans « La Belle Europe » qui était de tout type de ceux-là assorti ; à tout besoin si l'on croyait l'en avoir et même caprice, pour que les citoyens s'en servissent à plaisir.


    Notre Europe, après, sinon bien d'anéantir, de mettre à sa place : inquisiteurs, assassins d'un côté aussi qu'usuriers d'un autre (les uns, les autres qui se sont devenus pédophiles et spéculateurs, ou une activité ainsi) maintenant, nous devons recommencer nous battre avec de nouveaux inquisiteurs… 

     on ne peut pas vivre tranquille !

dimanche 11 janvier 2015

PRÊTER ATTENTION AUX PUISSANTS

    Prenez garde des politiciens, ces nudistes de la honte ; quand moins on le pense, ils vont apparaître habillés, de l'appât du gain, quoi qu'il en soit, au but, surtout, de ne pas perdre place dans les fauteuils du pouvoir. 
 
   
Et, faites-vous attention jusqu'aux clochards, en vous soignant d'eux. Ainsi, le jour qu'ils entendent, lesquels peuvent y tirer profit, ils ne vont point en douter, en vous rendant hommage, de se mettre à votre place, recueillir les aumônes à vous. 
 
  
    Pour y faire, ils n'en douteront d'organiser un concours républicain, dont les invités d'honneur seront : monarchistes de race, despotes de tout acabit et curés « inquisiteurs » ceux-ci qui ne peuvent être d'autre, même qu'ils aient eu beau se déguiser de pieux hommes.

samedi 10 janvier 2015

HYPOCRITES !

    Les rats ne s'efforcent pas trop, ils ont l'habitude de faire semblant d'avoir de la peine, cette fois à cause du décès du chat, tandis qu'ils mangent de l'assiette qui pour lui fut servie.

 

    Le silence était gratté par des fines ongles des muridés, qui autour de l'assiette le lui rythmaient de leur presque inaudible grignoté. En silence, elle aussi, la peste, qui l'a tué, est partie à la recherche de nouvelles victimes.

 

    Par là, en regardant les funérailles, un chien, qui auparavant avait été le poursuivant du félin, verse une larme de douleur ... à la vie ! et une autre de peine pour la mort de son partenaire.

jeudi 8 janvier 2015

N'ALLEZ PAS CHEZ LES BOITEUX

    Il était une fois un monde, dont lesquels y appartenaient, tous, étaient boiteux, et comme en étant boiteux, que non imbéciles, ils ironisaient les uns les autres de leur défaut : l'humeur est un symptôme inéluctable d'intelligence.

 

    Et, si les boiteux savaient d'autres mondes dont la boiterie, si existait, était un délit, ni ils n'allaient y boiter, ni ne se moquaient de ces gens-là pour ne pas l'en être. C'est comme s'ils les ignoraient et s'y attendaient autant.

 
 

    Et, si n'importe qui ne l'en est pas, se rend chez les boiteux. Boiteux qui s'y moquent, il suffit de ne pas aller chez eux.

lundi 5 janvier 2015

LA FIN DE TOUT

    Le monde, l'univers, cette toute immensité impénétrable, laquelle personne ne peut à peine que mauvaisement pressentir.


    Dans ce monde, cet univers, se tient le monde de l'individu, dont poussent les fleurs, qui ont pour pétales des épines, sages du non-savoir, prophètes de l'obscur, patrons de volontiers.


    L’individu, dont son indescriptible petitesse se trouve dans l'incommensurable immensité, quand il s'éteint, s'éteint lui aussi.

jeudi 1 janvier 2015

LE PORC, ET SOIT L'HOMME SOIT DIEU

    Un porc ramassait des châtaignes dans un bois duquel se considérait patron un paysan, en les emmagasinant en lui. Un homme qui le regardait de manière convoitise. Ce qui fait méfier, de telle manière, que le porc lui dit : si tu m'as pris pour un entrepôt, va t'en faire foutre. Anastase (qu'il s'appelait) laisse d'engloutir et ne mange pas que l'indispensable.


 
    Le seigneur du bois, contrarié de l’attitude d'Anastase, s'approcha de lui pour le dire : si tu ne manges pas maintenant qu'il y a des fruits, tu manqueras de réserve l’hiver durant, dont ils seront rares.
 
 
    Le porc, le regardant du coin de l'œil, lui répond : pour ma part, j'en ai assez, et desquelles restent par terre, désormais pousseront d'autres arbres qui donneront plus de fruits, à toi, à moi et pour des animaux d'autres. En outre, si tu ne veux pas devenir un carnivore, au lieu de gaspiller ton temps en regardant mes maigres chairs, va-t’en entretenir celles-là de ta femme, ou elle cherchera autre qui l'en fasse.