mardi 30 septembre 2014

DUR MÉTIER DE DIEU

    En étant Saturne (de nom de famille Parterre, que non la planète ni le dieu), dans le parc Georges Brassens sur un banc public assis à regarder les feuilles tomber, ce qu'à l’être l’automne pour beaucoup qu'il y regardait cela ne dissipait l'image que l'inquiétait : un monde débordant de zombies intellectuels. Jusqu'à tout juste étaient les 14 h 25', il se dit à soi-même : Ho !
 

    Immédiatement, sans s’arrêter un instant à réfléchir plus, assez d'être homme, il décide de se faire dieu ; mais pas un dieu quelconque, qu'il fût méchant, ou qu'il fût bon ; il voulait être un dieu enragé. Saturne Parterre n’aimait point conneries d'adeptes qui prient, soit pour amour, soit pour peur… Je ne suis pas, il se dit à soi-même (il, pour ne pas avoir à qui parler, se parlait toujours à soi-même) ni sadique, ni masochiste non plus.

     Vraiment, il refusait d'être dieu pour cela de l'immortalité (chose que n'importe quel mortel pourrait penser), sinon pour ne pas fréquenter les personnes. Le pauvre dieu, Saturne, n'a pas su prévoir l’incommensurable sottise de ses congénères, parce que, adeptes d'avoir, il a eu beaucoup plus qu'aucun dieu ne pourrait avoir imaginé.

vendredi 26 septembre 2014

IDIOT DE PRÉNOM, DE NOM AMORPHE

    Ah que le monde fût fou ! Il serait quand même gai, créatif, fécond ; mais non, inopinément, nous sommes dans un monde qui bien peut s'appeler Idiot, de prénom, de nom Amorphe.
 
 
     Pourtant, à plus de malheurs, nous avons fait quand non idiot, fade, tout cela qui nous entoure, tout cela qui nous touchons : tous les animaux autres presque, végétaux même, et, j’oserais affirmer que jusqu'aux minéraux, avec lesquels, les micro-miniaturisant, nous polluons l'air, l'eau, sources de la vie.
 
 
     Ce n’est pas la folie qui nous fait détruire, c'est la médiocrité qui nous mène inexorablement vers l'anéantissement de tous nous, comme aussi de tout cela qui nous avons, fait notre équipage.

mardi 23 septembre 2014

RENIER SON OEUVRE

    La relation sadomasochisme qu'ont les politiciens européens face à l'obscur pouvoir capitaliste. La plupart des citoyens n'ont le choix que de prendre le côté masochiste. Lesquels, en outre, l'on ne peut pas considérer victimes de leur sort ; car ils ont mis en place ces fantoches, lesquels se sont réservés, à son avis, le bon côté. Ce choix qui parfois s'est fait de cœur, soit, ou bien pour se mettre sous les ailes faussement protectrices dû à leur masochisme subconscient, quand non sous l'obscur désir d'être autant qu'eux ; trop de manques de lumière, cause, peut-être, de la montée du prix de l’électricité.

    Saint Vladimir, qui n'envisageait pas cela de se faire saint, ne voulant non plus, dû à son grand professionnalisme, que les agneaux de son troupeau subissent tel opprobre, en prenant le silence par parole, il a parlé.

    Alors, Saint-Vladimir « illuminé », à cause de toute l’énergie qu'il avait en parlant sans rien dire. Il a exaspéré les fantoches, qui élevant le ton. Ils ont fait le mieux qu'ils savent faire : discréditer et menacer Vladimir (ils omettent le « saint » méprisant leur savoir-faire) tel qu'il est le cas. Pour immédiatement éveiller leur côté sadique, ils tournent le fouet contre eux-mêmes. Pas sans avant, bien entendu, de se couvrir leurs dos, prêts à la lacération avec ceux-là de leur peuple. Habitué à cela… le calme fait chez les fantoches, il ne l'est pas resté d'outre, le peuple masochiste se soigne de ses blessures… la paix règne par là.

samedi 20 septembre 2014

SAUVE-QUI-PEUT

    Plus emmerdé est le peuple, plus paisible semble la lourde atmosphère ; laquelle se fait irrespirable à cause des pets immondes avec lesquelles musiquent leurs évacuations les emmerdeurs.



 
    Dans la haute mer, les marins sentent venir les orages, quand la mer devient si plate qu'il parait n'avoir vie ni au-dessus ni au-dessous de sa superficie. S'en gardant de l'avenir, dont celle-là se fait confondre dans ce tout que ne sera bientôt qu'un orage.
 

    Pourtant, ceux-là qui ne sont ni bons ni mauvais marins, sinon qu'ils sont uniquement des souffleurs, font, en réveillant la colère de Poséidon, qu'ils naufragent dans la mer orageuse.

vendredi 19 septembre 2014

NOTRE CAMARADE LE VIN

    De même que les plantes poussent fort en les arrosant avec l'eau, les idées en nous fleurissent de l'arrosage fait du vin. D'où, si les nénuphars flottent dans l'eau, sans se noyer ; pourquoi on ne peut pas l'en faire dans le vin ?

    Je déplore, vous tous qui déploriez, les malheurs que le vin provoque ; ignorants qu'ignorent les malheurs qu'il soulage, et je vous dis :

    Le vin, à qui vous appelez péjorativement « alcool », a beaucoup plus d'autres composants indispensables à la vie : tous eux qui sont juste du vin, lequel est chez nous depuis la nuit des temps, fruit du travail, sans qu'il, soi-même, n'eût jamais gêné personne.

jeudi 18 septembre 2014

METAMORPHOSE DE L'EAU

    L'eau ; la terre, les mains…     
 les vignes.
 

        L'eau ; la terre, les mains…
     le temps.

 
      L'eau ; la terre, les mains,
   le fruit.
 
 
      Les mains, les sages, les généreuses mains :
   le vin !

lundi 15 septembre 2014

SE RÉVEILLER DE L'INSOMNIE

    Quand le réveiller n'est qu'une prolongation du non-dormir, c'est tellement qu'être dans les limbes d'une inexistence existante.
 
   
    Dans le corps mélassé, qui fait corps avec le visqueux lit dont il se repose, reste prisonnier l'esprit de l'être ; de l'un de l'autre.
 
   
    Au fur et à mesure qu'ils perdent viscosité : le lit, le corps ; s'éveille l'esprit, le corps bouge, l'un l'autre faisant un tout, on prend vie.

dimanche 14 septembre 2014

TROP D'"IMPITOYABLEMENT"

    Parmi le monde, du monde civilisé, lesquels ont accès, et le temps bien entendu, à l'information, nous sentons horrifiés des assassinats impitoyables (comme y correspond à ceux-là faits en nom de l'impitoyable) commis récemment.

    Concernant, je dois souligner :

    D'un côté, qu'il n'y a que s'en aller à temps trop lointains, quand chez-nous les adeptes au dieu, tout-puissant et impitoyable comme il faut, d'importation ont fait autant, bien qu'il faille reconnaître qu'ils étaient plus créatifs en tant qu'aux tortures, destinées pour mourir en grâce de dieu, lesquelles ont atteint un haut degré de sophistication (soyez plutôt bien pensés, ils l'en faisaient pour les mettre dans les bras de dieu). De ce dieu qu'en autre beaucoup parmi nous, inexplicablement, se veulent laisser embrasser encore.

 

    Cependant : les anciens colons des empires de par ici qui les ont transplantés par là, à l'autre rive de l’Océan, pour être exploités ; en désirant devenir empire, eux aussi, ils se sont empêchés en libérer des peuples, par ici par là, de leurs satrapes, lesquels n'en étaient pas moins que les siens, que les nôtres, bien qu'il faille reconnaître que plus folkloriques, mais laïques quand même. Pour y laisser pousser dans les pauvres d'esprit, maîtrises auparavant par leurs maîtres, la déraison diabolique de la foi.

   Alors, je me dis moi-même, tout seul (ce qu'il ne reste d'autre s'il n'y a personne qui t'écoute) si tout le problème n'est que Dieu et compte tenu qu'avec cela de la globalisation il y a de moins en moins, plus facile deviendra se libérer de cette méchante idée.

vendredi 12 septembre 2014

OFFRIR UN CIERGE À SAINT VLADIMIR

    Aucun doute n'existe que vivre est être dans un état de doute, d'où. Qui n'en doute pas ne soit qu'un survivant du néant, qui, ne sachant de ne rien savoir, il fait pour faire croire qu'il sait tout.


  

    Ce si curieux qu'anormal ce genre de personnes, aujourd’hui. Cependant, courants parmi les humains dont ils parasitent, finissent pour s'y croire, et jusqu'à en être savants.

    
 

    Europe trahie par cette bande de sans esprit ; vendue aux ignominieux cultivateurs de la zizanie, et nous sans Saint Robespierre qui nous sauve ! Il ne nous reste qu’offrir un gros cierge à Saint Poutine, qu'il encule (supposément, bien entendu) ces misérables traites. Pas pour les faire du mal, sinon pour qu'ils se réjouissent de leurs affaires et nous laissent en calme, à nous avec les nôtres.

LA BONTÉ, LA MÉCHANCETÉ, ET LA STUPIDITÉ

    Confucius prônait que l'homme était incliné à la bonté. Passe quelques siècles, l'invasion de l'Église catholique chez nous, en employant son lourd contrepoids, a incliné la balance de l'autre côté.


 

    La question est que du mal fait aux autres, l'acteur qui en profite (ce qui ne laisse pas d'être reprochable), il ne pourra pas l'esquiver, puisque sa propre méchanceté, plus tôt ou plus tard, reviendra sur lui.

 

    Les temps sont arrivés, dont personne ne s'est incliné ni à la bonté, ni non plus au mal, sinon que plutôt à la stupidité ; grâce cette fois à la fausse interprétation de la démocratie.

mardi 9 septembre 2014

RÉFLÉCHIR OU NON RÉFLÉCHIR, VOILÀ LA QUESTION

    L’état de l'être réfléchi est allongé, j'y ajouterais sans l'en douter : commodément allongé, et c'est précisément la réflexion qui a fait de nous l'animal le plus « évolué ».

    Pourtant, une fois arrivés au sommet de la pyramide, dont les animaux que tous nous étions. C'est la faute de réflexion qui nous a fait devenir le grand prédateur, soit une espèce de vélociraptor ou quelque chose comme ça (parfois un casque encastré dans la tête, à nous pas au vélociraptor). Bien que la faute absolue de réflexion nous ait fait prédateurs de nous-mêmes.

    *Personne parmi les plus sages n'a jamais pu dévoiler ce que ces hommes d'action voulaient protéger avec ?


    L'agitation, dont l'inquiétude pour être plus que les autres entre nous ; d'où est née l'ambition, l’égoïsme, c'est ça qui nous a mis dans l'état irréfléchi, lequel nous traîne à l’involution.

dimanche 7 septembre 2014

PAUVRES DANS LA RÉPUBLIQUE! ... ?

    Le citoyen, auquel s'est donné d'appeler monsieur, président de « La République », sans ôter son casque, a dit : « je suis au service des plus pauvres, c'est ma raison d'être » ; pourquoi donc il ne s'oublie du gênant casque et se met une couronne sur sa tête.

    Est-ce que ce pauvre d'esprit n'a pas compris encore que la raison d'être de « La République » est juste de se mettre au service des pauvres, sinon de qu'il n'en ait pas ?

 
    Les pauvres, soit les ouvriers, « monsieur le président » sont l'affaire des riches, auxquels leur émancipation les laisse dépourvus d'esclaves ; auxquels vous et vos coreligionnaires, en sainte compagne, vous leur rendez vassalité ; cependant, il faut le dire, avec le concert d'ouvriers reconvertis en fléau de sa propre classe… honte à eux, pauvres ignorants ; honte à vous qui vous teniez par sages.

samedi 6 septembre 2014

FAIRE L'AMOUR SANS CASQUE

    À travers le prisme par où nous observons la vie. Ce qu'en autre, chacun y fait depuis un point de vue différent. Ce qui fait de la déformation produite par celui-là et celui-ci de ne pas nous permettre d'apercevoir ni la signification de la vie, ni où nous nous trouvons par rapport à elle. En tant qu'individus, nous ne sommes rien, et même si nous avons besoin d'être dans n'importe quel ensemble pour « être », rarement nous consolidons dans n'importe quel des ensembles.

    Chacun de nous, par soi-même ou par intermédiation de dieu —s'en montrant ou en cachette (par exemple, sous un casque à moto) se croit le summum, cherchant à faute de qualités propres, soit en ce que nous entendons par valeur soit péjorativement, leurs similitudes dans les animaux autres, lesquels qui cependant se tiennent à sa place dans la vie.

    Il y a été, peut-être, la puissance de groupe, la faiblesse individuel, et le crétinisme intellectuel, ce qui a fait de nous le grand prédateur : pauvre animalité tout entière parmi nous, pauvre vie sur la Terre à qui de défunte ne la peut pas sauver ni saint Robespierre Vierge et Martyr, ni même saint Poutine, qui ni est vierge ni martyr ; ni manque qu'il en fait, précisément ce qu'il faudrait pour la vie sauver chez nous est juste ce de faire plus l'amour… et sans casque ! merde d’emmerdeurs.

vendredi 5 septembre 2014

L'HOMME À GENOUX

    L'homme parfois s'allonge, parfois s'assied*, mais il, pour « être », doit se tenir debout, jamais se mettre à genoux.

    *Il n'est pas indispensable de l'en faire sur une moto ni qu'il en soit pour s'en aller aux putes.

 

L'humanité a toujours été penchante à fabriquer « l’être » pour ne pas « être » chacun y parmi… Voilà notre fausse puissance, puisqu'elle est dans l'imaginaire, dangereuse option, dont l'imaginaire est manié par quelques-uns qui n'ont rien d'imaginaire.

 

    Les hommes prosternés sont uniquement une masse malléable… pauvre humanité ! qui n'est qu'une miche de cette masse façonnée de laquelle mangent les insatiables*.

   *Auxquels ni même le casque ne les empêche pas d'avaler.

mercredi 3 septembre 2014

RECHERCHE D'ENFANT, RECHERCHE D'ADULTE

    Une ombre qui voilait un mirage s'est fait sentir, et après qu'il se fit voir, l'ombre l'en a de nouveau voilé, donc elle-même s'est éclipsée.

 

   Tout cela m'a fait revenir à mes jeux d'enfance, dont l'un y parmi il était ce de soulever les jupes aux fillettes pour chercher leur mystère de femmes.


   Maintenant, je recherche dans les ombres, une femme, un beau mirage que les obscures ce jour-là m'avaient voilé.

lundi 1 septembre 2014

TROUPEAU DE MONSIEUR LE PRÉSIDENT

    Monsieur le président, prenant des vessies pour lanternes (en ce qu'il est tout un maître), s'est fait devenir berger, et en prenant pour moutons ses coreligionnaires, il les appelle à ne pas se sortir du troupeau.

  

    Brave leçon de démocratie ! que l'on suppose laïque, soit, qu'il en ait d'autres… ? D'où j'ignore s'il en déduit, si je suis con, tous les cons. Ce qui n'est pas une faute de raison. C'est qu'on l'a présenté comme un peuple endormi, ces éveillés-là qui ne pensaient qu'en monter par les échelons du pouvoir, sinon en roi, par la grâce de Dieu, par leur grâce, en président.

    La question est qu'en tout ça, il n'y a rien de nouveau : l'église a toujours traité ses paroissiens comme des moutons : troupeau des dieux ! Bien que j'ignore ce qu'ont à voir les moutons avec nous ? Maudite habitude la nôtre de mépriser aux autres animaux les trouvant ressemblances, quoi qu'il en soit, avec nous, c'est le cas.