Les fils de la grande femme : négligés, outragés, dépossédés. Ils
vivent actuellement une impasse. Et, comme si de rien n'était-ce,
d'avoir subi la disparition de leur mère aux mains des artisans de la
défaite d'eux-mêmes. Ils doivent supporter l'exhibition, dont ces
bourreaux se rejoignent, passant devant les nez de leurs victimes, leur
insultante abondance, laquelle est tirée absolument du manque de
celles-là.
Ces orphelins, coupables eux-mêmes, en la mesure qui les correspond, dû qu'ils font partie du monde tout entier, cause de leur inaction, de leur propre mésaventure.
Cet après-midi, j'ignore s'il a été l'esprit qui s'est éveillé de la grande dame ou l’horreur produit par le bourreau. La question est que les orphelins l'ont donné le dos au fouet de ce dernier, se mettant hors de son attente, l'offrant à lui avec le fouet de l'indifférence ; l'arme, bien sûr, la plus efficace, en partant ensuite, sans lui accorder plus d'importance, derrière sa mère, quels mignons tous les trois ! vraiment adorables !


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