jeudi 24 octobre 2013

LA DEMOISELLE DES CHATS

    Hélène est, pas l'une sinon la plus, douce, aimable, gentil, cauteleuse, tendre, soigneuse, délicate, fraîche belle, c'est-à-dire une cheminée qui pollue, de la fumée qui d'elle fait sortir, du bonheur de l'honneur, pour qui de cette fumée ait été touché ; de ce que je me congratule d'en avoir été l'un y parmi, puis cela permet d'appartenir au cercle, dont Hélène répand sa grâce où est implicite la connaissance d'elle à nous… faveur incommensurable !
 
   
    Grâce celle-là qui nous permet d'accompagner la belle (et tout ce tas-là d'adjectivations, et plus) dans une sorte de pèlerinage durant, qu'elle fait jour le jour par tous les coins possibles, de la ville, dont elle puisse trouver des chats, animaux que l'adorable adore, pour les offrir des gourmandises… comme si sa présence n'en fut assez ! Pèlerinage dont quelqu’un peut avoir de la chance, le jour qu'il en soit, de s'être fait porteur du sac les y contenant.
 
   
    Je sais, tout le monde, parmi les dévots de la gentille ; bon, tout ce gâteau qui bien pourrait être jusqu'à dégoûtant pour qui n'aime trop la douce, le sait, que personne n'aime tant comme on semble fait croire ces petits félins. En revanche, personne n'ose rien dire les uns des autres, soit qu'il se produise la débandade, de celle-ci qu'il faut en autre se soigner en se soûlant ; les profiteurs, munis de la malice tire de la sobriété, feraient-ils pour rester chez elle, dont ses oreilles réchauffées de l'haleine qui accompagnent les chuchotements de tel harmonieux gâteau, qui est Hélène « la demoiselle des chats ».

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