dimanche 14 novembre 2010

SUR LA FAUSSE DOUTE D'UNE LIBERTÉ

    Aung San Suu Kyi est libre ! Tout le monde, celui qui l'en est, est content ; moi, je ne peux pas être ni content, ni mécontent parce que je ne connais rien sur l'affaire de cette femme, ni à elle, car je ne sais pas quand même si c'est, qu'elle a conspiré, difficilement de l'en faire chez les conspirateurs ou volé dans la caisse commune, aussi difficile chez un gouvernement, qui comme tous, y a ses propres intercepteurs. Ceux-ci qui n'admettraient pas de bon gré de la concurrence.        De toutes les manières, je dois accepter, sincèrement, d'être content, et je serais énormément, immensément plus content, que tout le monde fût libre... j'adore la liberté ! Ici est la question, de pourquoi moi, sans détester ni aimer non plus ; je ne déteste personne, car cela serait les mettre en valeur, auxquels je ne les aime pas, non plus, parce que je les méprisse ; en tout cas il me fait sourire que, tous qui depuis les médias dont ils contrôlent, faisant distorsion de toute information à leurs profits, en voie de se maintenir dans le pouvoir administratif, dès où ils rendent vassalité au pouvoir, qui les paie avec ce qu'ils entendent le luxe, le sexe ou des rares nourritures entre autres choses ; ils ne sont, plus ou moins, que comme chevaux d'une sélecte écurie dont leurs patrons ont pour bizarre plaisir les faire concurrencer montés par unes petites personnes, comme j'étais en train de dire, nos gouvernants qui contrôlent, dénaturent ; empêchent ou l'interdissent (poliment) d'autres informations que celles-là qui ne soient pas maîtrisées à eux, parlent de liberté d'expression, et ce qu'est plus difficile, sans rougir ; je ne sais pas si c'est qu'ils ont de très bons maquilleurs ou qu'ils n'ont pas de sang, peut-être, chaud.
C'est méchant que, à cause de ces manipulateurs, puisse quelqu'un, sinon douter, se mettre à réfléchir sur la mise en liberté d'une personne.

3 commentaires:

  1. Par Ivan Rioufol. 2010 0h01 | Lien permanent | FIGARO BLOG
    Laurent Fabius aurait mieux fait d'ignorer Georges Frêche. Parce que le tonitruant président du conseil régional de Languedoc-Roussillon a dit de lui, le 22 décembre : il a "une tronche pas catholique", l'ancien premier ministre socialiste a estimé, lundi sur RTL, que ces propos avaient "évidemment un caractère antisémite" : une accusation rejoignant celles des ligues de vertu, PS en tête, qui auront mis plus d'un mois avant de réagir aux provocations du potentat. Or, l'instrumentalisation de l'antisémitisme, à travers de dérisoires réquisitoires, permet au virus de se répandre au nez des prétendus indignés.

    RépondreSupprimer
  2. Etienne Chouard – qui n’a pas besoin d’être présenté – a créé sur son site Internet un texte « pdf », contenant – sur plus de trois cents pages ! – notre débat sur la monnaie.

    Il écrit en introduction :

    Avec l’accord de Paul, je publie cette sélection sur la monnaie que j’ai composée pour permettre une impression facile et soignée d’un travail collectif de longue haleine que je trouve d’une rare intelligence et d’un formidable intérêt pédagogique : chaque citoyen devrait prendre conscience des enjeux et mécanismes de la monnaie : à mon sens, la liberté ou la servitude dépend de cette prise de conscience.

    J’ai donc ici copié bout à bout tous les articles de Paul Jorion relatifs à la monnaie, suivis des échanges qui sont souvent d’une qualité exceptionnelle.
    Je remercie ici Etienne publiquement (mes remerciements privés ont eu lieu hier, quand il m’annonça son intention). Mieux, il tiendra ce texte à jour et nous encourage à lui signaler les passages que nous considérons particulièrement importants afin qu’il les surligne.

    Paul Jorion
    http://www.pauljorion.com/blog/?p=684

    RépondreSupprimer
  3. L'image de soi

    Une activité fondamentale du cerveau humain est la constitution de l'image de soi. C'est elle qui influence le plus notre vie.


    Qu'est-ce que l'image de soi ? C'est comment on se voit, ce que l'on croit être, ce que l'on croit qu'on est capable de faire, comment on croit que les autres nous voient, la photo de nous-mêmes que nous avons en tête, quel rôle nous croyons jouer... C'est aussi une photo de famille, sur laquelle nous sommes entourés de nos parents, de nos amis...

    Dit plus platement, c'est le dessin que nous ferions sur une feuille de papier si on nous demandait de nous dessiner nous-mêmes. C'est ce que nous écririons si l'on nous demandait de nous décrire nous-mêmes. Attention : nous n'avons pas toujours conscience de ce que nous croyions être. La description que nous ferons consciemment est toujours incomplète et partiellement déformée.

    Ici l'image de soi est présentée comme quelque chose de technique et précis, de presque visible. En réalité elle est le plus souvent perçue par les humains sous la forme d'un ensemble d'émotions et d'impressions subjectives, qu'ils peuvent vivre ou subir de façons différentes suivant leur caractère et leur culture.

    Plutôt que d'essayer de construire une explication de comment ce phénomène fonctionne, le présent texte est une suite d'exemples. Au fil de ces exemples, vous pourrez à la fois juger de l'importance du mécanisme et apprendre à le découvrir dans d'autres situations.

    Eric Brasseur

    eric.brasseur@gmail.com

    RépondreSupprimer