En baladant ma triste solitude par les rues par où auparavant se promenait un vibrant monde, « le mien ».
Aujourd’hui,
on peine d’écouter l’écho de ce qui a été : leurs
causeries, leurs rires et leurs musiques ; ainsi que les odeurs
sorties des boutiques diverses, dont des restaurants. Une main en
tenant soit une glace, en été, soit des châtaignes chaudes, en
hiver, pour nommer les saveurs… le vin, on le buvait dedans des
bars.
Désormais,
tout cela est voilé d’un brouhaha zombiesque ; sans odeurs,
sans saveurs, mais avec fracas.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire