vendredi 20 décembre 2024

UN TANGO QUI SE BALADE

    Piétinant une rue, j’ai cru écouter les regrets sortis d’un tango.


    Pourtant, en voulant leur prêter l’oreille, mon nez lui prend la place, pour ensuite l’œil prendre la relève ; c’était l’odeur d’elle qui était tango, aussi que son parfum et sa délicate beauté : toute une offre à mes yeux.


    Elle me dépasse et un souffle avait laissé une attirante trace.

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