Piétinant une rue, j’ai cru écouter les regrets sortis d’un tango.
Pourtant, en voulant leur prêter l’oreille, mon nez lui prend la place, pour ensuite l’œil prendre la relève ; c’était l’odeur d’elle qui était tango, aussi que son parfum et sa délicate beauté : toute une offre à mes yeux.
Elle me dépasse et un souffle avait laissé une attirante trace.
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