Si n’importe quel spécimen, humain, se regarde attentivement dans un miroir, on verra quelque chose d’inquiétant.
Nous, les animaux humains, dites « êtres » pour être (supposément) fils de Dieu. Nous qui subjuguons tout animal autre qui se nous approche ; soit en le faisant physiquement un dégénéré, pour mieux profiter ainsi de ce que de leur chair du lait de leurs nourrissons ou de leurs embryons dans les ovipares, soit des bêtes de somme ; d’autres fois, on les nourrit, les encerclant, pour les arracher la peau. Et, pas moins dramatique, on les adopte comme animaux de compagnie pour faire des jeux avec, parfois abjects, ou tout simplement des jouets. Ce qui les empêchera de développer ses moyens naturels de subsistance. À les abandonner à leur sort, ils se font périr de leurs souffrances.
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