Dans les rêves, les ombres prennent vie.
ni dieu, ni roi, ni mondialisation; la voici une autre, qui sinon vieille, belle chanson
Dans les rêves, les ombres prennent vie.
Lors du cours de la vie, les souffles des dieux apportent par lambeaux bonheurs et malheurs.
Lorsque le déclin se développe dans une société, on ne doit pas chercher coupable ailleurs.
En étant dans un supermarché, où l’on peut acheter de la nourriture et des boissons ainsi que tout type de trucs ménagers.
Ce qui m’a attiré l’attention, ce sont les serviettes en papier et le papier hygiénique ; les unes pour nettoyer la gueule, après avoir mangé, et l’autre pour faire autant dans le cul, après avoir chié.
Alors, tel que marche le monde, bientôt la plupart du monde n’aura pas besoin ni de serviettes ni non plus de papier au cul.
Il était une fois un peuple qui avait, pour résumer, une faim et un froid terrifiants. C’est donc que les affamés se sont révoltés à cause contre le pouvoir régnant.
… Le rêve s’était fait cauchemar !
Le peuple blâme souvent tous les maux venus à cause de leurs politiciens.
Si n’importe quel spécimen, humain, se regarde attentivement dans un miroir, on verra quelque chose d’inquiétant.
En traînant ma triste figure par la rue Cadet, à Paris, j’aperçois une autre qui laissait lire sa pensée.
Moi, assez de lire des mensonges dans les journaux, je m’immerge dans le réel dont j’ai pu lire : _ par là y vient ma vie ; donc, levant les yeux de la lecture, je vois venir une fille, celle-ci qui, en passant à côté de celle-là s’y éloigne ; alors, j’en poursuis la lecture : _ ma vie s’en va !
Je m’arrête pour voir où le récit va, il se met dans un bar pour effacer sa tristesse… peut-être !
De ma vie durant, j’ai fait un cocktail.