Nous (soit, la plus grande majorité des humains) sommes arrivés à avoir plutôt
plus peur de vivre que de mourir.
La
cause, c’est que nous avons fait de la lutte pour vivre, de la
guerre pour mourir.
Conséquence :
à mesure qu’une minorité bourre l’estomac, il se dilate aux
dépenses d’autres qui rétrécissent.
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