Dans le poulailler, les poussins, éveillés eux, picorent pour grandir, les poules, à l’air hébété, picorent pour faire la pondre. Leurs vielles font du bon bouillon.
Pourtant,
les vieux coqs, survivants au pot, se sachant impuissants pour
maîtriser le poulailler, se servent des coqs, à crête en herbe
encore, pour l’en faire.
Ces
jeunes crétins, gorgés de stupidité, en négligeant son rôle dans
la collectivité de son espèce, feront des œufs nourriture pour les
bipèdes sans plumes.
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