Il
y a longtemps déjà, un tel Vlad, surnommé « l’empaleur »,
faisait animer les soirées avec les lamentos
de ses prisonniers, qui empalés par des experts, se tenaient en vie le
plus de temps possible, pour la jouissance de leur maître.
ni dieu, ni roi, ni mondialisation; la voici une autre, qui sinon vieille, belle chanson
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