En
promenant la tristesse par l’absurde, je trouve la porte de la raison, elle est fort fermée.
Alors,
je regarde par la fente de celle-ci, pour voir si je peux distinguer un
petit éclat d’espoir.
Mais,
l’autre côté est autant envahi que duquel j’y suis, de
l’obscure, impénétrable stupidité.
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