L’homme
marche sur terre, parfois la piétinant, avec rage… tellement que
si elle fût coupable de ses malheurs.
Elle,
qui même tapissée de cailloux, sent le bipède à son dessus.
La
terre attend, elle sait qu’il deviendra terre, d’autres
marcheront sur lui, ou sur les cailloux qui le recouvriront.
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