L’automne est presque passé, et y durant, les arbres, en faisant strip-tease, se sont allés ôter de leurs robes.
ni dieu, ni roi, ni mondialisation; la voici une autre, qui sinon vieille, belle chanson
L’automne est presque passé, et y durant, les arbres, en faisant strip-tease, se sont allés ôter de leurs robes.
Quelle tristesse de sortir à la vie, c’est tel qu’elle n’existât pas.
En me trouvant, depuis longtemps, un vieil ami. En causant, il, mystérieusement, m’avoue sans mystère :
Elle est telle qu’une insolente aurore qui vient rompre le silence de la nuit.
Mon ami Séraphin, de fou amoureux qu’il était tombé, il s’est mis à rêver de se faire greffer en elle.
Il y a des types auxquels la normalité préconçue les fait bizarres par rapport auxquels se considèrent dans cette normalité-là.
Conte une si vieille que bizarre histoire qu’un homme, qui Abraham s’appelait. Qu’en étant celui-ci à travailler la terre, dans le ciel, apparaît le seigneur, le sien, qui ordonne à Abraham d'égorger Isaac, son fils aimé, pour lui faire plaisir à son maitre !
Sommes tous, l’humanité tout entière, qui par action ou par omission dégradent la planète : la nôtre.
Lesquels qui se croient les maîtres du monde (avec notre condescendance) ont tout fait bouleverser.
À cette époque de l’année, somnolent automne : l’un après l’autre durant, chênes, châtaigniers et autres façonnent duveteux tapis pour recevoir la bienvenue.
Si vraiment les dieux existaient, quelques-uns, au moins, seraient de mauvais poil… de très, très mauvais poil.